Ils nous ont dit

Sommaire
Note au lecteur
Chapitre I   – Qui sommes-nous, que pensons-nous?
Chapitre II –  Les IBOZO  
Chapitre III – Eléments de métaphysique
Chapitre IV -L’Homme Dieu 
Chapitre V – Relations de voisinage et voyages dans l’espace
Conclusion – Les lois morales, le bien et le mal  

ILS NOUS ONT DIT …

Note au lecteur

Notre patronyme importe peu.

Nous sommes, ensemble,  « Les Scribes d’Ummo ». 

Seul le message est important.

Depuis près de 30 ans, « Les Scribes » étudient les documents transmis par nos amis, les Oummains. Il est temps aujourd’hui de diffuser, d’une manière vulgarisée, ce message, mais nous espérons que vous lirez , dans leur forme originale, tout cet important corpus.

En 1966, les Oummains écrivaient : « Nous savons que seuls quelques uns d’entre vous entrevoient la possibilité que des êtres qui vous sont semblables et sont originaires d’autres astres de cette Galaxie, sont secrètement parmi vous.

Nous savons aussi que seule une fraction insignifiante de ces personnes dispersées sur cette Planète, connaît notre identité en tant qu’êtres Humains originaires d’une autre Planète, mais en toute logique, un pourcentage élevé maintient une prudente réserve en doutant quelque peu de la réalité de notre origine.

Seules l’analyse de votre civilisation et des caractéristiques géologiques de votre  planète Terre, les structures biologiques terrestres et la psychologie de votre Société, nous ont amenés parmi vous.

Date historique pour les relations TERRE-UMMO, nous sommes arrivés le 28 mars 1950 , aux environs de La Javie, en France. »

Vulgarisation ne veut pas dire simplification, mais parfois reformulation. Nous assumons de l’avoir fait pour certains concepts complexes, sans pour autant toujours le spécifier ou changer la fonte. Le lecteur devra de toute façon faire lui aussi un effort, comme il le ferait pour n’importe quel apprentissage.

V3 – 12/05/22

Chapitre I

Qui sommes-nous, que pensons-nous?

[Cette série est issue des documents D74 à D81 reçus en 1969 par Antonio Ribera]

Nous sommes un peuple plus ancien que vous. Nous décomptons  l’hominisation à partir du moment où un Humain en évolution  est mis en contact avec son âme et sa métaconscience planétaire (ceci, il l’ignore encore) et son « libre choix » s’installe dans sa conscience. Notre hominisation a eu lieu il y a 9 millions d’années alors que la votre date de 4 millions d’années. Néanmoins notre développement technologique s’est fait beaucoup plus lentement et nous verrons qu’il n’y a que 5000 ou 6000 ans de différence scientifique et technologique

Nous venons d’une Planète dénommée par nous  » UMMO  » (OUMMO en prononciation française et OOMO en prononciation anglaise), qui circule autour d’une étoile à environ 14 al de votre Soleil

Il n’est pas possible de réaliser une synthèse de notre culture actuelle sans courir le risque que nos conceptions puissent paraître peu convaincantes car n’étant pas accompagnées d’argumentations développées avec l’ampleur désirée.

Nous désirons vous offrir un panorama superficiel des bases intellectuelles de notre structure sociale à différents niveaux qui vous soient familiers, mais pour nous, une telle discrimination est artificielle dans la mesure où nous considérons la chaîne du cosmos comme un « tout » harmonique que l’on ne peut atomiser en disciplines ou sciences sans déformer gravement la vérité. Les liens entre les différents aspects de l’univers sont si intimes que leur projection mentale sous forme de compartiments étanches peut devenir aliénante pour le chercheur.

Mais la transcription de ces idées devient véritablement difficile si vous prenez en compte le fait que vos schémas mentaux sont conformés d’une autre manière que les nôtres. Nous ne pouvons utiliser un langage commun intelligible des deux côtés. En ce moment, en m’efforçant d’utiliser en espagnol des idiotismes verbaux qui vous soient familiers, je tais le flux d’idées que je pourrais exprimer avec aisance si les acceptions de vos phonèmes pouvaient interpréter correctement ma pensée. Vos frères Rilke, Neruda, Lorca, auraient-ils pu exprimer leur exquise sensibilité avec le seul instrument verbal d’un vocabulaire extrait de l’index d’un manuel d’électronique ?

En ce qui nous concerne, il ne s’agit pas de chercher un phonème ou un mot  dont la signification soit analogue à celle de notre mot correspondant. Même si ce premier cas était obtenu, et même avec la réalisation d’une analyse lexicographique de la langue, les expressions complexes intégrées par ces « paroles » cacheraient des significations insolites pour les habitudes topiques de la pensée terrestre. Pour cela, les idées qui ont été proposées dans ces rapports à d’autres frères de différentes nationalités sont nécessairement « géotrophes », c’est-à-dire avec une saveur prononcée « d’orientation culturelle terrestre », mais ceci est dû au moyen de communication sociale choisi. Le pouvoir évocatif des mots qui vous sont familiers bloque toute intention sérieuse de transvasement culturel.

L’idée de vous offrir ces conceptions pour qu’elles servent de base doctrinale se substituant aux piliers de la pensée terrestre actuelle est très éloignée de notre esprit.

Des rapports analogues à celui-ci, mais avec un contenu spécifique différent, ont été remis par voie postale à des philosophes, des dignitaires de différentes Églises, des diplômés de diverses universités, des techniciens, des publicistes et des personnes de formation moyenne de différents pays. 

Mais même les humains terrestres qui ont gardé avec une encourageante curiosité ces pages dactylographiées en différentes langues et qui ont su combiner, avec un équilibre louable, la réserve mentale et le secret que nous exigions, avec d’ailleurs une attitude ouverte d’approbation conditionnée de notre témoignage, n’ont jamais été contraints de substituer leurs propres idées et conceptions  par les nôtres.

Nous ne désirons en aucune manière – même par l’exhortation – que vous tombiez dans la tentation de permuter vos idées religieuses, scientifiques et politico-économiques avec les nôtres. Vous-mêmes reconnaîtrez le bien-fondé d’un tel avertissement.

En premier lieu parce que nos rapports sont purement descriptifs.  Une révolution de vos structures doit se forger au sein de votre propre réseau social. Une morale cosmique que nous partageons nous interdit respectueusement d’intervenir, sauf en des cas limites.

Nous ne venons pas – tout au moins mes frères de UMMO – en prophètes descendus du ciel pour vous apporter une nouvelle doctrine, une nouvelle physique, une nouvelle religion, des conceptions mathématiques nouvelles, des panacées pour vos maux sociaux ou patho-physiologiques, en nous appuyant pour cela sur notre maturité culturelle plus avancée. 

La pureté de nos intentions peut être constatée à travers le procédé utilisé pour prendre contact avec vous. Si nous désirions vraiment introduire notre propre monde mental, nous exercerions notre prosélytisme en étayant nos textes par des démonstrations, même sophistiquées. Nous n’insisterons pas davantage sur le fait que notre séjour sur Terre est dû exclusivement à une nécessité vitale, que vous comprendrez, d’étudier et d’analyser votre évolution bio-culturelle. C’est seulement après avoir compris que vos propres barrières de scepticisme nous protègent que nous avons décidé cet essai de symbiose intellectuelle.

Nous vous offrons maintenant ces documents tout en sachant qu’ils seront accueillis avec réticence et nous en faisons dépositaires des hommes de la Terre comme vous, qui, imprégnés par l’intérêt pour des thèmes extra-biologiques, Ies conserveraient au moins jusqu’à ce que des preuves objectives et vraies sanctionnent l’authenticité de leur genèse.

Notre conception de  » l’entité dimensionnelle « 

Tout penseur de la Terre reconnaîtra l’insurmontable difficulté qu’entraîne la projection sur des esprits non formés de concepts abstraits reflétant toute la richesse idéologique des différentes écoles philosophiques.

Notre prétention de vous offrir de telles conceptions condensées en quelques paragraphes stérilise d’emblée toute possibilité d’homogénéiser les critères, en leur donnant la forme adéquate que nous acceptons. Mais au moins elle vous servira pour ébaucher par petites touches rapides une image de la structure de notre pensée.

Dans le domaine de la cosmologie, les progrès obtenus sont suffisamment importants pour que les spéculations de nos idéologues abandonnent le terrain mouvant des intuitions et s’appuient sur un empirisme épuré et omniprésent qui nous a permis de formuler des hypothèses beaucoup plus conséquentes que celles d’autrefois.

Nous pouvons vous révéler que le premier « choc » ressenti par les anciennes conceptions mécanistes du Cosmos eut lieu quand nos cosmologues et physiciens arrivèrent à constater la véritable nature de l’espace physique.

Notre modèle de Cosmos est capable de répondre d’une manière satisfaisante à toutes les interrogations qui se posent non seulement en Physique mais aussi dans le domaine biologique et psychophysique. Il est compatible avec la riche phénoménologie dont nous sommes les observateurs optionnels.

Il ne s’agit pas cependant d’un modèle définitif et parfait – réel – car bien qu’il réponde à nos propres formulations : qu’est-ce que l’être? qu’est-ce que le non-être?… pourquoi sommes-nous ici?… qu’est-ce que « l’entité » nécessaire?

Nous introduisons sophistiquement des convictions erronées, par exemple, celle qui consiste à dire qu’il existe un modèle objectif pour nous. 

Mais ceci est un corollaire de l’inquiétante question exposée en premier lieu. Existe t’il un modèle objectif du « Cosmos »? Si la réponse est négative, la confusion introduite rendra impossible toute espérance de certitude.

Mais avant d’exprimer nos idées sur les êtres, voyons comment nous envisageons le problème de l’information dont l’altération interdirait toute possibilité de nous entendre.

Notre langage 

Le premier objectif de notre pensée fut d’élaborer des bases dialectiques, une logique qui fût indépendante du langage, de la langue. Ceci était d’une importance vitale si vous tenez compte du fait que notre forme d’expression est bi-synchrovalente et que la codification verbale de la pensée en deux modes d’expression capables d’être phonétiquement simultanées (l’une par un mécanisme linguo-guttural semblable aux langages de la Terre, et l’autre par un code qui implique des répétitions séquentielles des phonèmes) prédispose à des interprétations erronées et est une source de tromperies due à l’ambiguïté des termes utilisés et à la composante émotive lors de leur expression.

C’est pour cela que fut choisie notre manière d’exprimer des idées par une répétition codée de différents mots dans le contexte d’une conversation normale pour servir de base à une communication verbale de nos concepts logiques. Ainsi les idées transcendantales sont exprimées en un langage de base mathématique.

De cette façon, nous, les Oummains, pouvons employer à volonté trois instruments verbaux qui sont utilisés en fonction des nécessités de l’individu en chacun à chaque instant.

Le premier, le langage de liaison,  utilise des idéogrammes dans leur expression graphique et des groupes de phonèmes liés ou connectés qui représentent des concepts, des valeurs et des objets concrets et même des idées complexes ordonnées. C’est un véhicule qui sert pour converser de questions routinières (langage domestique, technique, macrosocial vulgarisé) 

 Nous vous parlerons une autre fois de notre forme de communication « TÉLÉPATHIQUE », celle-ci nous permet de connecter les éléments intégrants de notre Réseau Social à de grandes distances. 

Le second est utilisé durant le cursus d’enseignement, dans les réunions de caractère transcendant, dans les dialogues entre ceux que vous nommeriez des intellectuels, quand les hiérarques de notre société  doivent s’adresser aux membres du réseau social pour des raisons transcendantes et dans des cas plus communs, quand l’urgence du cas nécessite une grande rapidité d’information, deux ordres d’idées peuvent être projetés simultanément sur notre interlocuteur. 

Notre logique.

[Principe de Non Contradiction : en logique, le principe de non-contradiction est la loi qui interdit d’affirmer et nier simultanément le même terme ou la même proposition. On voit que rejeter ce principe nous permets de dire  » EST et NON EST  » en simultané.]

[Principe d’identité : il présente deux versions. La version ontologique (sur l’être) dit :  » Une chose est ce qu’elle est.  » . La version logique (sur la connaissance formelle) dit :  » Ce qui est vrai est vrai « .]

[Rajoutons que nos amis appellent 

– AIIODI (ou AÏODI), la réalité :
–  AIIODII (ou AÏODII), l’ensemble des réalités potentielles 

– AIIOODII (ou AÏOODII), la trame des potentialités réalisables ]

En ce qui concerne notre logique, nous observons des divergences notables entre les bases qui vous sont familières et les nôtres .

Nous nions le principe terrestre du tiers exclu (exclusion du moyen terme énoncé par Aristote) selon lequel les propositions ne peuvent être que vraies ou fausses de même que nous rejetonsle principe de non-contradiction (par exemple dans le domaine de la psychophysiologie) .

Dans tous les cas nous respectons ce que vous appelez le principe d’identité .

Ce que nous venons de rapporter exige un éclaircissement. Dans notre « devenir » normal, dans notre vie quotidienne, notre dialectique peut se confondre avec la vôtre. Si je dis que OUI, je me suis réveillé à 8 heures, une telle proposition est VRAIE ou bien je peux avoir falsifié la réalité, auquel cas un autre type d’énonciation distincte de VRAI ou FAUX n’est pas possible (ici dans mon cadre tridimensionnel de mon Univers).

Pour des actes normaux de la vie quotidienne, ce principe artificiel bipolaire ou bivalent, est valable ou utile (vous ne faites pas non plus, au marché, des corrections relativistes sur la masse d’une marchandise déplacée du commerçant vers le client).

Mais quand nous désirons spéculer au sujet de valeurs transcendantes ou quand nous tentons d’étudier des concepts que vous appelleriez gnoséologiques, ontologiques, physiques, biologiques, théologiques… ce principe est totalement à rejeter.

C’est précisément le grand obstacle auquel nous faisons allusion dans les paragraphes précédents. Comment vous exposer nos fondements métaphysiques si nos « langages » respectifs sont basés sur des principes logiques contradictoires? Le problème ne peut se résoudre par une simple transcription des significations de phonèmes comme vous pouvez vous en douter.

Ceci est la raison pour laquelle (en dehors de celles inhérentes à des impératifs de censure) nous nous voyons obligés, dans nos rapports, d’utiliser des comparaisons terra-centriques, des propositions mutilées et étroites qui entravent toute la richesse informative de nos expressions dialectiques. Déjà la seule utilisation du verbe ÊTRE limite toutes nos possibilités. Toute l’ontologie des penseurs de la Terre est saturée d’expressions comme « ÊTRE », « JE NE SUIS PAS », « J’EXISTE », sans possibilité de choix pour d’autres formes de contenu distinct. Tant que vos formes de communication informative ne seront pas clarifiées, le processus de recherche de la vérité sera lent et très laborieux

LOGIQUE TÉTRAVALENTE OUMMAINE
4 « valeurs de vérité »
AÏOOYAA: Existence vérifiable, existe. ce qui est dimensionnel  avec des caractéristiques de temps et d’espace
AÏOOYEEDOO: Irréel,  hors de tout cadre de vérification, rien
AÏOOYA AMMIE: N’existe pas dimensionnellement, vérifiable hors d’un champ de conscience individuel ou collectif (exemples: Dieu, l’âme, l’âme collective) , ce qui est adimensionnel comme peut l’être l’intelligence ou la joie.  (Vrai hors de l’Univers)
AÏOOYAOU:
– Réalité phénoménologique potentielle ou partiellement indéterminée (exemple: paradoxe de Schrödinger qui conduit à la déduction de deux états potentiels contradictoires superposés)– C’est le 4 ième terme de la logique tétravalente: il n’est pas utilisé par nous de façon courante, hormis par nos spécialistes en cosmophysique théorique. Nous l’employons parfois dans des thèmes philosophiques.– S’il faut absolument tenter de mettre une signifiance en linguistique terrestre sur ce terme, AÏOOYAOU serait l’état d’un phénomène indéterminé dont l’émergence est perceptible ou fortement prédictible mais dont plusieurs actualisations sont envisageables en fonction des différentes distorsions inhérentes au flux temporel.

Nos bases ontologiques

[L’ontologie est le domaine philosophique qui se concentre sur l’étude de l’être. Autrement dit, se penche sur la nature réelle de ce qui nous entoure et du sens de la vie .]

Nous essaierons d’utiliser une terminologie plus familière et compréhensible, avec un vocabulaire analogue à cette discipline.

Le problème de « l’ÊTRE », tel qu’il a été envisagé par les penseurs de la Terre, a eu une formulation radicalement différente sur Ummo. Nos ancêtres ne doutèrent pas un instant de l’existence de la réalité externe à la propre conscience. Les « choses » existent par elles-mêmes, « en dehors de moi » mais leur essence nous est masquée par leur codage dans nos voies sensorielles . Ce principe est resté constant jusqu’à ce que de nouvelles formes de dialectique enrichissent nos schémas primitifs.

Une synthèse de notre ontologie actuelle pourrait être formulée ainsi :

Il n’est pas possible de définir dans un premier stade le concept de l’ÊTRE. 

« POUR-MOI » qui suis une pure conscience de mon Moi et de ce qui existe « dimensionnées » autour de moi, je suis plongé dans un Univers qui me transcende.

Les « choses », les objets de mon processus mental  « n’existent  » sans doute pas comme je les perçois, ni comme je les traite au moyen d’un mécanisme de rationalisation très complexe. Les relations causales sont des relations « EN-MOI » traitées selon un ordre élaboré par de tels mécanismes. Un végétal est appréhendé par « moi » avec des caractéristiques qui symbolisent ses attributs que je pense « réels ». Ma propre impression sensorielle arrivant au niveau de la conscience est  une illusion basée sur des constantes extérieures. Ainsi la couleur sera l’impression psychologique d’une stimulation de nature électromagnétique et le concept de masse imprimé dans ma conscience est très loin de pouvoir s’identifier avec l’attribut physique réel qui le génère. 

Mais, même si  » les existants  »  se masquaient en accédant à notre MOI et même si nous ne pouvions savoir comment ils « SONT » réellement, leur essence « EXTÉRIEURE-À-MOI » est-elle constante? Je peux ignorer comment EST réellement une molécule de camphre qui stimule mon organe sensoriel olfactif en provoquant la sensation consciente, mais chaque fois que je perçois un tel arôme, puis-je assurer qu’il est un attribut du seul camphre et non pas qu’il puisse s’agir d’une illusion ou une hallucination?

Exprimé autrement : même si je ne savais pas comment « est réellement l’Univers », l’Univers est-il « ICI », dynamique ou statique, changeant ou rigide, engendrant des idées qui se reflètent dans ma conscience sans que mon « MOI » soit capable de changer son essence, son « ÊTRE » propre ?

Notre réponse est NON.

Les Êtres pensants avec une structure neurocorticale et mentale définie (vous les hommes de la Terre, nous les hommes d’Ummo et tous les êtres semblables de l’Univers) ne pouvons jamais accéder à la vérité, à l’essence de l’Univers, non pas parce qu’un tel Univers « n’existe pas » ni parce qu’il y a une barrière qui nous en empêche, mais parce que EN PENSANT À LUI NOUS MODIFIONS SON ESSENCE (Une comparaison grossière illustrera notre proposition: quand un physicien de votre Planète prétend constater des propriétés optiques, il produit une altération dans le processus en utilisant de la lumière pour l’observation). Ceci est un obstacle insurmontable puisque l’observation elle-même altère la véritable nature de ce qui est observé. Quelque chose de semblable se passe avec l’ÊTRE : celui ci « EST-AINSI » quand il N’EST PAS PENSÉ ET QUE SON IDÉE N’EXISTE PAS DANS MA CONSCIENCE.

Dés que nous ÊTRES PENSANTS tendons vers lui, celui-ci n'[EST], ni [N’EST-PAS] (ici votre logique ne nous permet pas une solution informative pour développer ce concept).

Nous HUMAINS « créons » l’Univers en pensant à lui. Il se présente à nous, Oummains,  avec une configuration d’IBOZOO-UU.

[IBOZOO-UU : Intraduisible. Un chapitre leur est consacré, mais sachez qu’il s’agit du  » support  » de toute la physique Oummaine. Nous avons choisi de simplifier cette orthographe dans la sute, par le simple ter « IBOZO »] 

Et sans doute ces IBOZO existent en tant que reflet spéculatif de  » QUELQUE CHOSE QUI N’ÉTAIT PAS IBOZO  » avant que nous le pensions et, comme (penser c’est ÊTRE), avant que nous, les HUMAINS, n’existions.

II s’agit là d’une espèce de « SYMBIOSE » entre la Réalité extérieure et nous. La réalité extérieure se plie à notre processus mental, elle est modifiée dés que nous focalisons notre conscience sur elle. Nous élaborons alors un modèle d’UNIVERS binaire composé de facteurs physiques (IBOZO) qui est notre « CRÉATION » et en même temps cette Réalité conforme notre MOI, le crée, le génère.

En arrivant à ce stade, vous pouvez penser que notre système est une espèce de panthéisme qui exclut l’idée d’un ÊTRE NÉCESSAIRE ou WOA (Dieu) TRANSCENDANT-AU-COSMOS. II n’en est rien comme vous pourrez le constater plus loin.

Imaginons d’autres êtres « pensants » différents de nous  (nous ne nous référons pas à des êtres avec une structure physiologique différente, mais à des « JE » dont les schémas mentaux ont une configuration différente). Sans aucun doute « ceux-ci » tenteront de PENSER-LE-COSMOS, et « ce faisant » ils modifieront son ÊTRE. Ainsi leur UNIVERS NE SERA PAS le même que le nôtre. Notez  que nous ne disons pas que l’Univers ne sera pas observé ou senti ou perçu ou schématisé de différentes manières – ceci est évident -, mais par contre nous disons que l’image de ce Cosmos doit être différente comme peut l’être une image optique captée par les yeux d’une mouche par rapport à celle perçu par les yeux humains

II n’y a pas seulement le fait que l’image de cet Univers soit distincte par l’intervention de processus mentaux de configuration différente des nôtres. C’est que l’ÊTRE même, l’ESSENCE même de l’Univers sera perturbée. Cette relativité de l’ÊTRE, cette polyvalence de « l’ÊTRE », demeure reflétée dans notre logique par ce que nous nommons « gamme ou réseau de forme de l’ÊTRE ».

Si nous ordonnons symboliquement toutes les possibilités ontologiques (pour cela faites abstraction du principe du tiers exclu aristotélicien) relatif à « QUELQUE CHOSE » transcendant à mon  » JE « , il s’agit d’un ensemble ou série de possibilités non tautologiques que nous pouvons coder encore plus synthétiquement ainsi: S1 ; S2 ; S3 ; S4 ; S5 ; ………… ; Sn

Nous arrivons à la signification de la Réalité Ultime, « CE » qui est susceptible d’adopter des possibilités infinies « d’existence » (S1, S2, S3……… Sn). 

Nous, OUMMAINS, voyons donc l’Univers et ses facteurs intégrés dans les possibilités S1, S2  ………… Sk. Vous, les hommes de la TERRE, vous n’acceptez pour l’instant que les possibilités S1 et S2.

Mais d’autres hypothétiques ÊTRES PENSANTS capteront des réalités sous les possibilités différentes des nôtres Sk+1, Sk+2 ……… Sm.

Le drame de l’HUMAIN réside dans le fait que sa recherche de la vérité, sa recherche de la réalité, sera infructueuse puisque celle-ci se présentera toujours sous les caractéristiques S1, S2, S3 ……… Sn.

Mes jugements, mes actes, qui sont ordonnés par les objectifs à atteindre et par les moyens utilisables, constituent de plus « EN-EUX-MÊMES » autant de S1, S2 …… Sk auto-déformés par leur propre processus pensant.

Notre conception de Dieu (WOA).

Vous disposez d’un beau mythe: Tantale, le roi de Lydie condamné à ne pas pouvoir satisfaire son appétit tout en disposant de plats à sa portée. Tout ÊTRE PENSANT doit subir aussi les conséquences de sa propre essence. Le véritable Univers est inaccessible. L’Univers qu’il voit, qu’il touche, dont il sent la chaleur, c’est-à-dire qu’il pense , est transformé par lui dans ce processus pensant.

Mais la réalité avec ses multiples formes d' »ÊTRE » est-ici-dans-mon-Univers. Est-ce que quelque chose ou quelqu’un peut y accéder, « penser » à lui sans le déformer ? Quelqu’un ou quelque chose peut-il pénétrer l’Ultime Existant sans que celui-ci se permute en S1, S2, S3 ……… Sn ? Ce quelqu’un ou quelque chose est WOA ou le GÉNÉRATEUR, celui auquel sur TERRE vous donneriez le nom de DIEU, si le « DIEU » de vos écoles théologiques était moins anthropomorphe que notre concept d' »ENTITÉ NÉCESSAIRE ».

Nous disons que DIEU (WOA) engendre le  » Cosmos Multiple « . Nous utilisons arbitrairement le mot « engendrer » non pas comme synonyme strict du verbe « CRÉER » . WOA est l’unique « entité » « pensante » qui ne déforme pas la RÉALITÉ ULTIME. En utilisant des mots de la TERRE avec encore un risque d’anthropomorphiser le concept que nous sommes occupés à vous exposer, nous dirons que WOA coexiste avec cette RÉALITÉ ULTIME, que la RÉALITÉ ULTIME est « ACTE » de WOA. De cette façon « LA PENSÉE DE WOA » ne garde aucune relation avec notre processus pensant d’êtres dimensionnels.

WOA engendre ainsi toutes les formes possibles,  et leurs sous-groupes constituent autant d’autres UNIVERS. Autrement dit, WOA engendre une infinité de cosmos, en engendrant une infinité de types d’êtres pensants, mais la proposition « IL Y A UNE INFINITÉ D’UNIVERS » n’est valable que pour nous, êtres pensants,  qui, en déformant la RÉALITÉ ULTIME autant de fois que nous sommes des classes de « JE pensants », nous nous créons l’illusion d’une très riche gamme de possibilités ontologiques.

Exprimé d’une manière triviale; « vu du côté de WOA » l’Univers  ne présente pas la large gamme de formes qui est familière à notre entendement, WOA ne l’apprécie même pas comme quelque chose qui EXISTE ou qui N’EXISTE PAS. Pour WOA il est simplement RÉALITÉ ULTIME éternelle et immuable comme lui.

Notre idée de Dieu (WOA).

Il est véritablement difficile de parler de WOA dont nous ignorons l’essence, tout en étant contraints d’employer une langue étrangère dont les bases logiques sont bivalentes. 

WOA est adimensionnel ; sur ce point nous sommes en accord avec les théologiens de la Terre. Cela n’a pas de sens de parler d' »Éternité », de temps, de pensée ou d’esprit dans l’essence de WOA.

C’est dans ce sens que nous pouvons (sous notre angle familier) imaginer que dans WOA « il y a » un esprit créateur d’idées, d’une infinité d’idées, dans la mesure où ces idées ne sont pas incompatibles avec l’essence de l’UNIVERS .

De plus nous n’attribuons pas à WOA des qualités, ou nous n’associons pas à son ÊTRE  des fonctions hominoïdes qui anthropomorphisent son concept comme l’ont fait malheureusement les théologiens de la Terre dans des époques passées. L’attribut de BONTÉ, de CRÉATEUR, de JUSTE, de CRUEL et autres, n’ont aucun sens rattachés à  WOA .

Notre concept de  » GÉNÉRER  » N’EST PAS synonyme  » d’ENGENDRER  » ou de  » CRÉER  » au sens où vous l’entendez, c’est-à-dire  » la fonction qui permet à une Entité avec une existence préalable de faire surgir un ÊTRE CONTINGENT dont les éléments constitutifs ne préexistaient pas « .

En utilisant votre logique familière, nous symboliserons ce concept :   Vu depuis la perspective de l’homme, WOA (Dieu) « crée » les bases des atomes, génère les lois qui régissent le Cosmos, mais pour la perspective de WOA, la fonction « générer », « créer », et même « coexister », n’a pas de signification.

Il est nécessaire d’insister sur la grande différence que nous observons entre notre concept de genèse par WOA (vu par un HUMAIN) et ce concept de génération tel qu’il serait appréhendé si nous nous situions (possibilité absurde) du « point de vue » de WOA.

Pour nous, WOA engendre une infinité d’idées, idées qui en tant qu’excroissances d’un « ÊTRE SUPRÊME », doivent se réaliser, exister en dehors ou en dedans de nous. Ainsi il est capable d’engendrer autant de cosmos que nous pouvons imaginer d’entités pensantes.

Mais sous l’hypothétique angle de WOA, tout est différent. Lui, il coexiste-engendre avec le ou les (utiliser un qualificatif quantitatif n’a pas de sens) EXISTANTS, mais également un être pensant les déformes en mille facettes ontologiques, générant son propre COSMOS. Ainsi surgissent autant d’UNIVERS  que d’HUMANITÉS compatibles avec « l’esprit de WOA ».

Pour WOA le pluri-cosmos  n’aura donc pas de sens mais il n’en sera pas de même pour nous, hommes pensants.

Mais continuons avec notre procédé « vu » par moi (le JE-PENSANT).

WOA, parmi l’infinité d’idées qui coexistent avec son essence, imagine celle d’un « ÊTRE » adimensionnel capable penser, engendrer des idées. Un tel « ÊTRE »  doit donc être libre. (Observez que s’il ne l’était pas, sa genèse d’idées n’aurait pas de sens puisque celles-ci seraient attribuables à WOA et ne seraient donc pas ses IDÉES (au sens conceptuel que vous attribuez à un tel mot) 

C’est ainsi « qu’a été généré » le BUAWE BIAEI [que les Scribes ont choisi d’appeler « Métaconscience Planétaire « ] qui représente, comme nous l’expliquerons plus loin, la collectivité des êtres pensants d’une même Planète. 

Combien de Métaconscience Planétaire « existent-elles »? C’est-à-dire combien y a-t-il de catégories de groupes pensants? Est-ce que toutes les Métaconscience Planétaire sont identiques en leur essence ? Le Métaconscience Planétaire terrestre est-elle la même que celle d’UMMO ?

Avant de tenter une réponse,  il est nécessaire de clarifier la double interprétation que représente pour nous la Métaconscience Planétaire : une première acception (l’ancienne) est synonyme de « COLLECTIVITÉ d’HUMAINS ». La seconde représente notre concept actuel  » d’ESPRIT COLLECTIF « . 

Notre gnoséologie

[La gnoséologie est la théorie générale de la connaissance, de ses sources, de ses moyens, de ses formes et de ses résultats]

Nous n’avons pas élaboré une théorie de la connaissance qui soit séparée de notre propre (Philosophie-Théologie) et avec sa propre identité.

Notre source de connaissance est empirique. Convaincus que l’entité réelle nous est inconnue, convaincus que le WAAM accessible par nos voies intellectuelles et sensorielles est un « fantasme » créé par notre JE-PENSANT, nous optons pour au moins tenter de pénétrer cette image déformée par nous de  » la réalité  »  

Nous sommes conscient que le WAAM que nous « contemplons », que nous (n’importe quelle ENTITÉ PENSANTE) « pensons » n’est pas le véritable WAAM engendré par WOA, puisque la fonction « pensante » distord, déforme sa réalité.

Nos ancêtres découvrirent progressivement que les formulations scientifiques élaborées sous des prémices et sous des conclusions basées sur une logique simpliste n’avaient pas le caractère apodictique qu’ils leur attribuaient au départ. Dans la dynamique du WAAM existaient des principes incapables d’être envisagés sous les qualifications que vous appelez « FAUX » ou « VRAI ». Surgissent ainsi des voix qui réclament une nouvelle logique capable non seulement de dépasser les limites de certaines formes rudimentaires de communication informative, mais d’enrichir aussi la gamme des propositions possibles. Sinon comment rattacher à la phénoménologie scientifique des réalités comme le MAL MORAL, la CRUAUTÉ), la FÉLICITÉ, la  SATISFACTION INTIME, la Transmission télépathique, le lien SOMA-PSYCHÉ). Tous ces termes ne peuvent être mesurées analytiquement et insérés dans le cadre de la réalité objective avec des concepts tels que l’ état liquide de la matière, les IBOSOO UU (voir le paragraphe consacré à la structure du WAAM) ou les adiations de très haute fréquence.

Il était nécessaire de libérer l’Humain qui se consacre à la science de sa tendance inconsciente à imprégner ses conclusions de teintes affectives, en pervertissant ainsi la conscience de la réalité objective.

Surgirent ainsi de nouvelles techniques pour accéder à des phénomènes que vous qualifieriez de « SPIRITUELS » en utilisant une méthodologie rigoureusement scientifique (au sens que vous accordez à ce mot, c’est-à-dire en vérifiant les faits et en formulant analytiquement leurs lois). Il y a seulement une différence avec les scientifiques de la TERRE : Vous, vous acceptez une hypothèse en l’élevant au niveau d’explication rationnelle quand ses postulats (énoncés sous des formes aristotéliciennes) ne contredisent pas la loi exprimée mathématiquement – généralement de type statistique – jusqu’à ce que la découverte de faits nouveaux entre en conflit avec l’ancienne formulation.

Notre « agnosticisme » (comme vous l’appelez vous-mêmes) nous pousse non seulement à nous abstenir de définir et de sonder quelque chose d’aussi transcendant que WOA, mais aussi nous pousse à élaborer une théorie et à la vérifier. NOUS N’ACCEPTONS PAS pas son authenticité malgré tout.

Ce flot de concepts, explications, hypothèses, nous sert comme gymnastique mentale pour épurer constamment les idées. Quand un penseur de UMMO formule par exemple une nouvelle hypothèse concernant l’influence du cosmos jumeau ratifiée par les faits et par sa formulation analytique, IL NE LA CROIT PAS lui-même et ne l’accepte jamais. La propre dynamique de la fonction pensante est plus importante que le stade « plat » d’une théorie stagnante qui engendre une école, comme parmi vous. Un exemple, bien qu’absurde, illustrera ce que je dis. Si Freud avait eu notre mentalité , il n’aurait jamais accepté dogmatiquement sa propre théorie du « complexe d’œdipe ».

Cette conduite pragmatique, étrange pour vous, nous est utile car elle évite aussi bien l’atomisation d’écoles qui divisent le Réseau Social en provoquant des situations conflictuelles, que les postures narcissiques et non objectives de celui qui accepte ses propres genèses mentales comme vérités ultimes, en oubliant qu’un autre homme du futur, plus intelligent et expert, perfectionnera encore, sans les nier, les propositions précédentes. C’est pour cela que nos  penseurs n’essaient pas de spéculer autour de l’essence de ce qui est inaccessible (par exemple WOA ).

Ainsi notre WOA n’est pas un Dieu avec des attributs anthropomorphes (bon, sage, puissant…) tout au moins au sens littéral que vous accordez à de telles qualités. Il n’existe pas pour nous « un problème du mal » que nous devons imputer à WOA. Le « mal » moral et physique est « vécu » aussi par les Humains d’UMMO quoique dans des formes différentes de celles de la TERRE. Mais ce « mal » est engendré par notre « JE-PENSANT LIBRE », qui en déformant ce qui est transcendant reflète sur notre conscience toute une très riche variété de formes physiques et de formes d’existence plus ou moins « belles » quelquefois, plus ou moins « mauvaises » d’autres fois quand elles perturbent notre affectivité.

La tendance à chercher la sécurité en Dieu, topique dans le contexte socio-religieux actuel de l’homme de la TERRE, en tant que réponse à sa propre anxiété et angoisse, angoisse de l’insécurité de son existence, n’est pas partagée par nous. Nous, nous ne « supplions » pas WOA, nous lui « transmettons » seulement notre gratitude. Nous aimons le Créateur, mais comme il ne nous est pas accessible, comme il transcende notre conscience comme nos concepts de l’Univers , nous projetons cet amour sur les autres frères et cet amour se traduit par une morale sociale épurée et des contrats sévères envers le Réseau Social. 

Il faut vous préciser que nous assimilons l’ensemble des Humains à un Réseau dont les nœuds ou points de jonction représentent les organismes physiologiques, et les « branches », les liens d’ordre physique, psychologique, moral… Un flux informatif mesurable entre deux nœuds (ou centres) définira analytiquement cette relation en degré ou étape du RÉSEAU.

Nous élaborons ainsi cette morale à partir d’une double source : l’une, éternelle, non modifiable et statique, proposée par la révélation de notre UMMOWOA, une autre grâce à la participation active de nos frères, dans l’élaboration continue de nouvelles interprétations et de formes soigneusement adéquates au temps et à l’espace, conditionnées par une culture en plein progrès par le lent processus de la neuro-corticalisation et par l’application de la technologie à nos formes de vie. Ainsi notre morale est changeante, adaptée à chaque moment aux circonstances de l’HUMAIN et de son entourage social. Jamais sur UMMO les experts en Philosophie religieuse n’ont invoqué une régression à des stades de civilisation ancestrale. Le mythe TERRESTRE du  » bon sauvage » n’a pas de sens chez nous.

Notre éthique ne se sent pas non plus liée par une pression du milieu social qui l’étrangle et la sature par un contenu creux d’habitudes irrationnelles et de « tabous », de conformismes figés qui étoufferaient l’HUMAIN, lésant sa liberté.

Comme synthèse de notre définition de la Loi morale : La loi morale est la gamme de lois imposées sans contrainte mentale ou physique à l’Humain par une constellation d’idées fondées sur le stade actuel de la connaissance. Lois qui s’articulent en normes spécifiques en fonction de la situation et du niveau mental de l’Homme situation et niveau toujours en plein processus de progression.

L’authenticité de notre Éthique changeante est évaluée en fonction de l’équilibre obtenu entre les exigences d’une morale de l’individu et d’une morale de la Société.

Chapitre II

Les IBOZO

[Pour aller plus loin, la série D59…]

Nous garderons ce terme dans tous les cas car il est intraduisible et ne corresponds – jusqu’ici –  à aucune explication scientifique terrestre. On peut essayer de dire qu’il s’agit des composants d’une « trame »  formant un faisceau de 12 axes constituant une pré-géométrie des univers que notre encéphale interprète en tant que dimensions, en admettant que cette définition est forcément limitative ou même erronée. 

Nous abordons un point de physique fondamental sans oublier que « la métaphysique » Oummaine est en fait une physique très avancée par rapport à la notre.

L’IBOZO est, d’après les Oummains, le  » constituant  » ultime et fondamental non seulement de la matière, mais de l’espace, du temps, et de toute la création; un constituant que l’on retrouve dans chacun des univers du pluricosmos, y compris dans l’Univers des Métaconsciences Collectives et dans l’Univers des Âmes.

L’énorme différence avec nos conceptions respectives tient au fait que l’IBOZO n’est pas du tout assimilable au plus petit grain de matière qui puisse exister comme le quark. L’IBOZO n’est pas localisable dans l’espace. Quelque soit l’instrument utilisé ou la finesse du microscope ou de l’accélérateur à particules, il n’est pas possible d’observer un IBOZO.

Il existe seulement en tant que modèle mathématique fonctionnel. Cela signifie une chose essentielle : nous n’accéderons jamais à la réalité ultime et sous-jacente, même avec les meilleurs instruments possibles. La réalité physique n’est approchable que par une progression asymptotique, mais jamais atteignable. Et il faut ajouter à cela que chacune de nos pensées a potentiellement le pouvoir de modifier véritablement le réel. La réalité ultime est et restera irrémédiablement hors de notre portée.

L’IBOZO n’a ni masse, ni localisation spatiale, ni énergie.

On peut se le représenter comme un faisceau, ou encore un genre d’oursin qui comporterait des axes qui ne se touchent pas pour exprimer leur indépendance.

L’IBOZO n’a pas de signification en tant qu’entité unique: il ne peut s’envisager que par paires. Ce sont les variations des positions axiales entre deux IBOZO qui sont porteuses de sens. Ce sont elles, ces variations angulaires, qui créent la matière, l’énergie, l’espace, le temps.

Au total, 12 dimensions  (3 dimensions d’espace, 6 autres qui déterminent la masse et 3 pour le temps qui est parfois « simplifié » en une dimension, ce qui explique que les Oummains citent parfois un Univers de 10 dimensions) pourraient définir l’ensemble de la réalité.

[Expression imagée des 12 dimensions par un illustrateur inconnu]

Ce modèle est différent du nôtre aussi sur un autre plan : la construction Oummaine du modèle de l’Univers est discontinue et discrète, alors que notre conception de l’Espace-temps défini par Einstein est continue (Continuum Spatio-temporel). Pour la physique terrienne le temps, les distances, sont conçues comme des grandeurs continues, seule la matière est quantifiée, ou en voie de quantification (la gravitation de l’est pas encore).

Prenons l’exemple du temps: le temps selon les Oummains comporte un intervalle minimum, le temps avance par paliers, comme la trotteuse d’une montre qui avance pas à pas: tic tac. Il en va de même pour l’espace tridimensionnel : il existe une distance minimum entre deux objets de l’espace physique, une distance qu’on ne peut raccourcir.

Entre deux IBOZO, c’est un intervalle angulaire entre deux axes correspondant à une même dimension qui fonde la temporalité ou l’espace ou la masse. La plus petite unité de temps ou de distance ou de masse correspond à la plus petite variation angulaire entre deux axes appartenant à deux IBOZO connectés.

Pour résumer  et de manière imagée : L’IBOZO est l’entité élémentaire cosmique (attention, il ne s’agit pas de « particules ») composée par un faisceau d’axes orthogonaux qui ne peuvent se couper entre eux, lié à d’autres IBOZO par des relations de caractère angulaire et qui forment les dimensions.

Imaginez que ce que vous appelez « particule » soit une des ampoules électriques dans une guirlande.

Imaginez que la première ampoule allumée s’éteigne et que l’ampoule voisine, adjacente, s’allume, et ainsi de suite l’une après l’autre. De loin vous aurez l’illusion que « la lumière avance », alors qu’il ne s’agit que d’une succession d’ampoules qui s’allument et s’éteignent.

A l’école, aux tout petits enfants, nous disons que les IBOZO sont comme une infinité de libellules dont les ailes ne sont jamais superposables, toutes orientées selon des axes différents.

Un IBOZO peut participer à la matérialisation d’une particule de notre corps, et participer à la matérialisation d’une particule d’une autre galaxie, d’un autre univers, tandis que certains de ses axes génèrent l’espace et le temps ici et là.

L’Univers réel et l’Univers « illusoire » des sens .

Il est très difficile pour l’Humain  d’avoir une conscience exacte de la véritable nature du Monde Physique qui l’entoure.

Apparemment les images mentales que nous nous sommes forgées de ce milieu qui nous entoure peuvent nous suggérer d’une manière erronée qu’un tel Monde Physique est tel que nous le « voyons », le « touchons » ou le « sentons ».

Mais une analyse soigneuse a révélé autant aux scientifiques d’UMMO qu’à ceux de la TERRE, et à d’autres civilisations Galactiques (ayant un certain degré de culture) que notre Univers n’est pas comme le présentent d’ordinaire nos sens. Ainsi: les couleurs que nous apprécions dans un parterre de fleurs ne sont qu’une perception psychologique. Il n’existe pas (en dehors de nous-même) une telle richesse chromatique. Seule une gamme de fréquences électromagnétiques demeure comme ultime « substratum » de la perception.

Voyons par un exemple comment nos organes physiologiques tordent la VÉRITÉ en masquant les choses avec un bel habit, sans lequel notre Univers vu ou apprécié tel quel, se présenterait à nous comme une froide succession d’IBOZO déphasés entre eux. 

Quand vous prenez par exemple entre vos doigt un briquet, vous avez conscience que ce briquet EST ICI : froid et brillant. Sur votre action surgit une flamme bleue due à la combustion du butane.

« Ceci » est donc ICI, pressé entre le pouce et l’index… ce n’est pas une fiction : « ceci EXISTE ».

Et pourtant ce briquet n’est qu’une ingénue perception .

Un physicien pourrait vous dire beaucoup plus de choses sur ce simple briquet. Il vous indiquerait par exemple que vous NE TOUCHEZ PAS en réalité sa surface, malgré votre évidence illusoire, puisqu’il existe de grande distances relatives entre les atomes du métal et les nuages électroniques des atomes de l’épiderme qui couvre vos doigts.

Peut-être que quelque terrestre peu formé prétendra lui objecter timidement que si ce petit morceau de métal n’est pas en contact avec sa propre peau il est impossible qu’il tienne et alors « il tomberait par terre ». Mais le scientifique terrestre lui parlera de Champs de Forces, de Tenseurs, de Répulsions entre charges électriques négatives.

Il lui suggérera cette sensation de froid est la conséquence de la basse amplitude de vibration des molécules du métal par rapport à celles de son épiderme.

Et il lui indiquera que cette apparence compacte de la plaque chromée est illusoire puisque les noyaux atomiques sont séparés entre eux dans la même proportion apparente que les Astres d’une Galaxie.

Un expert terrestre en optique physiologique vous dira que la brillance réelle de l’appareil est environ dix fois plus grande que la brillance apparente. C’est une véritable torche, mais quand cette lumière traverse notre œil, le cristallin et l’humeur vitrée absorbent presque tous les photons et seule une énergie lumineuse très réduite parvient à la rétine.

Un physiologiste terrestre sourira si vous lui demandez comment arrive la lumière au cortex cérébral et il vous expliquera que la LUMIÈRE n’arrive jamais au cerveau. Que les photons, en frappant la rétine, provoquent des impulsions codées qui se transmettent par les neurones du nerf optique sous forme de message électrique, de sorte que l’apparence de la flamme réelle de butane et le message réel que notre cerveau reçoit à partir de la rétine, est aussi semblable que peut l’être une VACHE réelle qui qu’avec les lettres qui composent son nom.

Enfin un neuropsychiatre vous indiquera d’une façon très vague, car lui-même ignore bien des caractéristiques d’un tel processus, comment l’encéphale intègre les millions d’impulsions codées jusqu’à parvenir à les fondre et à en faire la synthèse en une seule perception. Perception illusoire qui est l’unique image que nous parvenons à obtenir du MYSTÉRIEUX BRIQUET QUI EXISTE HORS DE NOUS.

En effet, cette image du briquet qui nous est si familière ressemble autant au véritable briquet que les lettres V-A-C-H-E à l’animal qu’elles nomment.

L’Humain doit donc se débarrasser des naïfs schémas mentaux fixés dans son cerveau depuis son enfance, en ce qui concerne les choses, les couleurs, les sons, etc… L’homme de chacun des groupes sociaux que nous connaissons, relié aux diverses planètes  avec qui nous avons été en contact jusqu’à présent, se sont rendus compte de cette nécessité et les scientifiques de diverses civilisations tirent au clair petit à petit les bases réelles de notre Univers. Jusqu’à quel point y êtes vous parvenus? Le modèle mathématique de l’Univers présenté par les physiciens de la Terre, avec sa théorie relativiste, la mécanique quantique et la mécanique statistique est-il le fidèle reflet de la VÉRITÉ ?

Vous imaginez l’ESPACE comme un « continuum scalaire » [Un scalaire est un nombre qui mesure une température, une masse, ou une longueur] dans toutes les directions. A partir de cette image de l’espace, vous avez élaboré (initié par Euclide) toute une géométrie basée sur des abstractions telles que le POINT, la DROITE et le PLAN. Vous avez fini par accepter que le POINT, la DROITE et le PLAN représentent réellement (même avec l’aide d’une abstraction intellectuelle) les véritables composants de l’Univers

Ce vice originel est en train de vous coûter un retard considérable dans la compréhension du monde physique.

En effet, alors vous acceptiez ingénument l’existence d’un espace euclidien à trois dimensions, des mathématiciens terrestres insignes tels que Gauss, Riemann, Bolyai et Lobatchevski avaient l’intuition géniale de la possibilité d’étendre les critères restreints d’Euclide en élaborant une nouvelle géométrie pour un n-Espace. Et bien que l’esprit d’un homme ne parvienne pas à percevoir mentalement l’image d’un corps de plus de trois dimensions, l’aide des mathématiques sauve de cet écueil intellectuel très facilement.

Mais ces modèles mathématiques de géométries pluridimensionnelles elliptique et hyperbolique correspondent-ils à la réalité de notre Univers, ou bien s’agit-il seulement d’entéléchies, créées par les mathématiciens ?

L’Homme terrestre a fait un pas gigantesque en rompant avec l’intuitive image d’un cosmos tridimensionnel.

Mais, est-il alors comme cela, notre ESPACE-COSMOS? 

NON, ABSOLUMENT PAS: Notre image du  COSMOS c’est-à-dire de l’ESPACE, diffère dans ses fondements propres de celui que vous avez élaborée. Et c’est précisément dans le concept de dimensions que la divergence commence à s’accuser gravement.

Qui plus est, les contradictions que vous observez dans la physique relativistes et dans la mécanique quantique, sont le produit d’un vice d’origine. Ce sont les conséquences d’erreurs basiques et fondamentales de concepts.

Arrivés ici, nous avons besoin d’une parenthèse pour vous offrir quelques observations.

En premier lieu nous vous faisons remarquer que notre conception de l’espace, en opposition essentielle avec la conception des terriens, exige des bases mathématiques différentes des vôtres. Il ne vous serait pas facile de comprendre nos algorithmes des « Mathématiques de l’Espace Physique » sans suivre au préalable un cours complet d’initiation qui demanderai de nombreux mois de travail aux initiés terrestres en mathématiques. A cela il y a une raison : quand il s’agit d’analyser les propriétés de l’Espace, les postulat normaux de la logique mathématique qui vous est familière (comme à nous d’ailleurs), NE NOUS SERVENT PAS. Comme vous le savez, la logique formelle accepte le critère que vous nommez « principe du tiers exclu », selon lequel toute proposition est nécessairement VRAIE ou FAUSSE. Ce postulat doit être rejeté. Il faut avoir recours à un type de logique multivalente que nos spécialistes appellent  LOGIQUE MATHÉMATIQUE TÉTRAVALENTE.

Nos concepts 

Après ce que nous venons de dire, vous pourriez probablement poser une question importante: Comment  savez-vous que votre conception de l’ESPACE est la VRAIE et non par exemple celle du modèle terrestre de Riemann ?

Nous savons que notre modèle basé sur le concept d’IBOZO  est réel puisque les résultats expérimentaux cadrent parfaitement avec ce canevas. Le fait que nous puissions réaliser des voyages moyennant un changement du système de référence tridimensionnel qui nous permet de nous déplacer à l’intérieur de notre Galaxie avec la possibilité de modifier les phases de ce que vous appelez « particules subatomiques » (qui ne sont autres que les IBOZO orientés de façon particulière) confirme  notre théorie.

Qui plus est, celle-ci coïncide à quelque nuances près avec les thèses élaborées par d’autres civilisations installées dans d’autres Planètes qui ont eu des contacts avec nous et sont dans un état avancé de leur science.

L’espace

Cette théorie des IBOZO nous donne accès à d’autres univers, à notre univers jumeau (UWAAM) ainsi qu’aux autres univers. Une pression intense associée à un champ magnétique élevé, provoque dans l’enceinte du vaisseau un changement d’axes des IBOZO, une inversion des corpuscules qui se traduit par la dématérialisation de notre univers de la nef, et une re-matérialisation de celle-ci, ailleurs, dans un autre espace tridimensionnel.

Quand nos frères eurent accès à vos bibliothèques, ils furent surpris que des concepts comme le point, la droite et le plan continuaient à être considérés par vous comme des abstractions d’une réalité sous-jacente de l’univers.

Ainsi quand les mathématiciens de la Terre définissent un point comme une famille de courbes ou comme un ensemble ordonné de n nombres P (a1 a2 a3an) dans un n-espace, ils ont l’intuition de la structure d’un espace scalaire à N dimensions dans lequel le point sera défini à l’intérieur d’un cadre de référence par ses coordonnées correspondantes.

Selon ce concept une droite sera un ensemble de points en correspondance biunivoque avec l’ensemble des nombres réels, de façon à ce que la distance entre les deux points d’un espace Rn acceptés comme fondamentaux, puisse être définie. Ainsi entre deux points A et B  d’un n-espace soient les coordonnées de deux points: A (X1, X2, X3, …Xn), B ( Y1, Y2, Y3, … Yn), de sorte que la trame d’un espace scalaire pluridimensionnel se trouve ainsi définie.

Ce modèle rigide de mathématique d’espace ne satisfait pas du tout nombre de physiciens actuels : cela est vrai, encore que beaucoup d’autres continuent à accepter l’existence de cet espace indépendant de la matière et de l’énergie qu’il contient.

Alors, vous les terrestres, avez inventé une autre fiction: « l’espace des phases ». Pour vous l’espace réel contient des particules subatomiques (autre erreur), et vous postulez que chaque particule doit occuper en un instant donné une position (point), mais vous devez définir la particule non seulement dans sa position mais aussi dans sa quantité de mouvement

Notre conception de l’espace est radicalement différente. 

Commençons par ce concept même de dimension qui diffère de l’idée que vous vous êtes mentalement forgée.

Nous essaierons, pour tenir compte de vos frères peu familiarisés avec les mathématiques, d’utiliser des concepts symboliques et didactiques.

Vous concevez un univers formé par un espace scalaire (1) c’est-à-dire : un espace tel qu’il se présente à nos sens, dans lequel l’image de dimension entraîne l’image d’une droite ou scalaire.

L’espace se présentera à vous comme un « volume immense » et le cosmos sera quelque chose ressemblant assez à une sphère de courbure positive (2) ou négative (3). Certains parmi les terrestres supposent au moins une courbure à l’intérieur d’une quatrième dimension et identifient l’Espace à l’espace pluridimensionnel de Riemann

Notre Univers serait alors comme une hypersphère positive ou négative mais toujours identifiée par vous comme dimension avec une droite ou scalaire.

A l’intérieur de ce modèle de cosmos (4) vous situez les particules, les atomes ; formant des Galaxies, les champs de gravité, magnétiques et électrostatiques, l’Énergie en somme.

Nous, au contraire, nous savons que le Cosmos  est composé par un réseau d’IBOZO. Nous concevons l’espace comme un ensemble associé de facteurs angulaires (5).

Pour nous, la droite dans l’espace n’existe pas, comme nous l’expliquons plus loin. Ainsi le concept d’OAWOO (angle-dimension) prend pour nous un sens différent. De telles dimensions sont associées non pas à des grandeurs scalaires mais à des grandeurs angulaires (il est curieux de constater par exemple que les physiciens de la Terre  n’attribuent pas à l’angle de caractère dimensionnel).

Si vous étiez des enfants dans une école, nous utiliserions peut-être une comparaison grossière. L’univers « est comme un essaim de libellules » dont les ailes forment des angles différents 

Toutes ces libellules voltigent de façon telle que pas une seule ne présente une orientation de ses ailes semblable à une autre de ses sœurs. Autrement dit; il n’y aura pas une seule paire de libellules qui, à un instant donné, pourra se superposer de manière que les ailes et les abdomens coïncident.

Mais, comme nous vous l’avons déjà dit, cette image est excessivement grossière et éloignée dans son analogie. En premier lieu chaque libellule occupe un lieu dans l’espace en chaque instant,  c’est-à-dire que  ses centres de gravité et d’inertie occupent des zones définies (selon notre conception illusoire). Un IBOZO n’occupe aucune position définie, nous ne pouvons pas dire de lui qu’il existe une probabilité de le trouver localisé en un point.

D’autre part cet insecte volant a une masse et un volume (au moins pour notre esprit). l’IBOZO n’est pas une particule pourvue de masse ou corporelle. Dans une première approximation conceptuelle nous pourrions dire de lui qu’il s’agit d’un faisceau  d’axes orientés. Ce qui est le plus important d’un tel faisceau ce sont précisément les angles que forment ces axes.

Les libellules de notre essaim infini vivent dans le temps, se meuvent par courts intervalles de temps sur des distances infinitésimales. l’IBOZO n’existe pas dans le temps, il est lui-même le temps (précisément un de ses angles est la magnitude temps). Pour être plus exacts : ce que nous appellerions intervalle infinitésimal de temps (dt) n’est qu’une différence d’orientation angulaire entre deux IBOZO liés.

Si après cette explication sommaire vous concevez notre Théorie de l’Espace en imaginant par exemple que l’espace est une « masse dense de particules semblables aux atomes » vous êtes dans l’erreur, puisque les particules d’un gaz tel que vous le connaissez occupent des positions probabilistes dans une enceinte, alors que ce n’est pas le cas des IBOZO.

Vous ne devez pas non plus identifier un tel espace à l’antique concept de l’éther  puisque le réseau d’IBOZO n’est aucunement un milieu élastique dans lequel se trouverait immergés les atomes des corps.

Vous pourriez aussi nous demander : par rapport à quel AXE de référence universel sont orientés les angles de l’IBOZO ? Naturellement avec aucun. Il n’existe aucun axe de référence dans l’Univers car cela supposerait d’imaginer une droite réelle dans le Cosmos, et une telle droite, comme nous l’avons indiqué, est une fiction. Lorsque maintenant nous nous référerons à l’angle qu’adopte un des axes imaginaires d’un IBOZO, nous nous référerons à un autre quelconque autre IBOZO adopté conventionnellement comme modèle ou référence. Ceci est très important.

Vous ne devez pas non plus imaginer que les particules sous atomiques sont immergées à l’intérieur de cet ensemble d’IBOZO. Simplement parce que n’importe quelle particule (électron, méson ou graviton) EST précisément un IBOZO orienté d’une façon particulière par rapport aux autres.

Nous aussi nous concevons un espace de n dimensions. La masse, par exemple, est une « courbure » de cet espace pluridimensionnel. Nous supposons aussi des distances au sein de l’Univers. Seulement nos concepts de grandeur, de courbure et de distance sont radicalement différentes des vôtres. Ainsi quand nous présentons graphiquement l’Espace, une Droite, un Point, nous le faisons comme vous car de telles images sont familières à nos sens… Mais nous savons qu’elles sont une pure fiction.

Le concept de l’OAWOO

En définissant provisoirement l’IBOZO comme une entité élémentaire,  composée par un faisceau d’axes orthogonaux qui ne peuvent se recouper entre eux, nous avons introduit (bien qu’à des fins pédagogiques) un concept que vous devez rejeter à priori: celui, exprimé avec un mot très familier sur Terre, de l’ AXE. Si vous associez notre mot OAWOO (« AXE » ou DIRECTION) avec une ligne droite orientée, nous retournons au point de départ puisque vous n’aurez pas compris  nos explications.

Évidemment il y a là un obstacle sérieux car nous parlons des langages mathématiques différents.  Quand, dès les premiers stades infantiles, vous êtes éduqué à l’intérieur de moules logiques il sera très difficile,  d’éduquer vos mécanismes mentaux pour dissocier des images illusoires apparentées à votre mode de perception.

Pour cela: si nous vous invitons à imaginer l’IBOZO comme une série d’axes (lignes droites indéfinies, idéales)

Nous désirons préciser néanmoins le fait qu’un IBOZO isolé n’est pas susceptible d’être conçu n’a pas de réalité. 

Avant de continuer, il faut vous préciser d’avantage le concept de LIGNE DROITE. La distance d’un point à un autre doit être interprétée comme une succession d’IBOZO dont les ANGLES ou pour être plus exacts, dont les IOAWOO (note 1) diffèrent entre eux (dθ).

IOAWOO serait « L’ANGLE » que forment deux OAWOO (« AXES ») de deux IBOZO associés; nous utilisons le mot « ANGLE » alors qu’il s’agit d’un concepts différents de ce que vous pouvez mesurer ou visualiser, 

Nous disons qu’entre deux points nous pouvons considérer non pas une, mais une infinité de chaînes différentes d’IBOZO (pour des systèmes référentiels tridimensionnels distincts). Autrement dit, il semblerait que l’une d’elle soit en réalité une « GÉODÉSIQUE » (LIGNE la plus courte que suivrait un mobile entre deux points d’une hypersphère située dans un cadre à quatre dimensions) (22).

Le concept de l’IBOZO

L’Univers que nous connaissons est un ensemble lié ou réseau de IBOZO tel que si nous identifions cet ensemble avec une série ordonné de nombres naturels : n tends vers l’infini. 

Il est nécessaire de vous donner une image la plus fidèle de la véritable nature de l’ IBOZO qui n’ait rien à voir avec le point mathématique, ni avec une particule, ni avec un quantum d’énergie selon les conceptions terrestres. Vous devez donc débarrasser vos esprits d’images aussi familières que le point et la dimension linéaire.

Si vous avez une formation mathématique vous connaissez le concept d’ hypersphère dans un n- espace.

Nous essayons de choisir un modèle mathématique (symbolique) qui représente l’IBOZO. Tenez en compte : quand nous nous référerons à un rayon vecteur par exemple, personne ne devra supposer que ce rayon sera matérialisé réellement dans l’IBOZO.

Nous pouvons représenter analytiquement un tel corps géométrique. Son équation correspondante est familière.

Si nous représentons les grandeurs définies dans les N axes par a1, a2, a3, …. an, le rayon R de l’ hypersphère sera défini par :

Comme nous ne pouvons pas représenter graphiquement une telle hypersphère, nous supposerons une sphère tridimensionnelle dont les axes seraient orientés orthogonalement.

Nous considérons dans la sphère de la figure ci-dessus un OAWOO (avec ce nom nous spécifierons dans la sphère aussi bien le concept d’AXE des mathématiciens terrestres, que le VECTEUR avec ses attributs de module, origine et extrémité). Dans ce cas vous traduirez OAWOO par RAYON VECTEUR 

Si nous considérons une hypersphère à N dimensions, nous pouvons concevoir autant d’autres OAWOO (RAYONS VECTEURS) que représentent ces grandeurs.

Soient U1, U2, U3 …… Un,  dont les orientations respectives sont orthogonales, c’est-à-dire forment des angles de Π/2 radiants entre elles.

Vu ainsi, l’IBOZO pourrait s’interpréter comme un espace pluridimensionnel fermé, et vous recommenceriez à l’imaginer avec ses points, droites, plans, hyperplans, volumes immergés et hypervolumes. Rien n’est plus éloigné du véritable concept réel de l’IBOZO. Quand nous nous référons, au sein de l’IBOZO, à un OAWOO (axe) et à son orientation, il est clair qu’une telle orientation n’a pas de sens géométrique sans un cadre de référence. Ainsi quand l’un de vous s’imagine une droite dans l’espace, il doit tracer par la pensée un système d’axes (que vous appelez cartésiens) pour que la droite soit définie aussi bien par son module (exprimé par six cotes sur les axes) que par ses cosinus directeurs : cos (α) cos (β) cos (γ)

Mais vous pouvez observer que ce système de référence a été choisi arbitrairement au sein de l’espace euclidien que vous avez imaginé. Il est très important que vous vous rendiez compte de cette différence par rapport à l’IBOZO. 

Il n’est pas possible de choisir dans le même IBOZO un système référentiel. Un tel système référentiel doit être apporté par un autre IBOZO, arbitrairement choisi. Ainsi (dans la figure 11, à droite), si nous supposons deux IBOZO (Ψ et Γ ) , ce serait un non-sens de se référer aux cosinus directeurs cos (α) cos (β) cos (γ) que l’IBOZO formerait avec un trièdre idéal, dont l’origine serait le  » centre  » de l’hypersphère . Ainsi nous pouvons seulement nous référer à l’ANGLE-DIMENSION Θ.qui confère à l’IBOZO tout son sens transcendant. Il faudra dès maintenant que vous fassiez un effort mental de telle manière que chaque fois qu’en physique nous parlons de GRANDEUR, l’image d’un SCALAIRE n’effleure pas votre conscience au lieu de cet ANGLE.

Sachez aussi que c’est un non-sens de vouloir isoler, dans un effort d’abstraction mentale, un IBOZO pour l’étudier. Nous pouvons l’exprimer par «il n’existe en absolu aucun IBOZO isolé».

Observez que ce postulat est en franche contradiction avec les propositions classiques de votre théorie mathématique des ensembles. 

Nous allons expliquer un peu aux humains peu familiarisés avec les mathématiques : naturellement un IBOZO n’est pas « visible » pas même à l’aide des appareils les plus sophistiqués que vous puissiez imaginer dans un laboratoire. Vous pouvez cependant objecter : Comment les scientifiques d’UMMO savent-ils que cette entité existe s’ils ne sont pas arrivés à le détecter ? 

L’usage du mot « détection » est ici inopportun. Si nous sommes arrivés à déduire l’existence de l’IBOZO, c’est parce que le modèle physique élaboré à partir de son hypothèse satisfait jusqu’à maintenant à toutes les explications, à tous les problèmes du comportement de la Matière et de l’Énergie et à ce qui est encore plus important: cela offre une voie plausible d’interprétation des phénomènes extrasensoriels tel que les communications télépathiques via la Métaconscience  humaine   .

Quoique de telles entités ne soient pas visibles, pour une compréhension à nuance pédagogique, vous pourriez vous représenter l’Espace comme un immense réseau de petites sphères (12), chacune d’elles représentant un IBOZO. Elles sont toutes d’une couleur différente, mais à l’intérieur d’un ensemble chromatique nous pourrions sélectionner toutes celles qui diffèrent entre elles par une légère variation de nuance ; différents tons de vert par exemple).

Par cette métaphore didactique (sphères colorées), nous exprimerions que l’ensemble des IBOZO, qui ne diffèrent entre eux seulement par l’angle-dimension IOAWOO, que leurs OAWOO (rayons vecteurs) respectifs forment avec l’un des IBOZO pris comme référence, mais tel que son champ de rotation soit l’hyperplan H (comme nous ne pouvons pas dessiner un hyperplan, nous supposerons dans l’image 13 qu’il s’agit d’un plan méridien P). Les IBOZO dont les rayons vecteurs tournent dans un autre plan méridien seraient codés d’une autre couleur, par exemple orange.

Si nous sélectionnions tous les IBOZO qui existent dans l’Univers, à qui didactiquement nous avons attribué la couleur verte, nous observerions qu’ordonnés mathématiquement, ils formeraient une chaîne annulaire (14)

Ce n’est pas que de tels IBOZO soient situés dans le COSMOS en formant une chaîne sans fin et situés topologiquement en une série ordonnée. Non, ce sont nos sens qui réalisent ce travail intellectuel de mise en ordre (un exemple vous fera mieux comprendre : quand vous évaluez la quantité d’argent déposé dans un compte courant bancaire, vous pouvez si vous le désirez, vous représenter les dollars, les livres sterling ou les pesettes, rangés de façon à pouvoir les compter. Mais cette mise en ordre, vous savez très bien qu’elle est illusoire).

Les composants immédiats de cette chaîne (Δ) et (Π) diffèrent entre eux d’un angle infinitésimal dθ 

 Concept de géoïde: la ligne droite.

Un hypothétique observateur qui verrait l’ensemble de la chaîne  depuis l’IBOZO (Σi) interprétera une telle chaîne comme une ligne droite. Vous pouvez aussi observer qu’un hypothétique voyageur qui partirait de Σi en « ligne droite » à travers le COSMOS en arriverait nécessairement à retourner à l’IBOZO d’origine.

Autrement dit : ce que nos sens interprètent comme une grandeur linéaire, c’est à dire comme une droite n’est qu’une chaîne d’IBOZO. C’est l’image mentale illusoire par laquelle notre neurencéphale réalise un travail de synthèse et de mise en ordre de cet ensemble d’IBOZO (qui dans l’Univers sont en réalité « en désordre » et sans localisation définie)

Au risque de nous répéter, nous vous avertissons du danger didactique que cela représente pour vous de croire que les IBOZO de cette chaîne sont ordonnés en ligne droite dans l’Univers. Il n’en est pas ainsi. Nous disons seulement que de tels IBOZO sont liés dans l’Espace, n’en déduisez pas qu’ils ont des points de localisation. 

Si nous considérons dans cette image 15 un observateur terrestre lié à l’IBOZO (T) et sur notre planète UMMO un observateur lié à l’IBOZO (U) nous dirons qu’il existe une distance L entre la Terre et UMMO car dans un cadre de référence arbitraire il existe une différence angulaire entre les deux IBOZO. (Différence angulaire qui implique l’existence d’une quasi infinité d’IBOZO entre eux deux).

Mais si nous considérons un autre système de référence nous découvrirons une deuxième chaîne d’IBOZO de sorte que cette différence angulaire aura varié (dans les dessins nous représentons ces cadres de référence par les plans méridiens orange et vert). Nous dirions alors dans ce cas que la distance entre UMMO et la TERRE est différente: la distance L’ est inférieure à la distance L car la différence angulaire est plus faible.

Nous pouvons conclure ensuite en disant que nous définissons la ligne droite et sa grandeur comme une chaîne d’IBOZO immergée dans l’UNIVERS tel que ses OAWOO (rayons vecteurs) diffèrent successivement d’un angle dq et soient tous orientés dans un hyperplan H. 

Vous ne devez en aucune manière penser qu’un point de cette droite pourrait être représenté par un IBOZO, car nous vous avons déjà dit qu’un IBOZO en lui-même n’a aucun sens. Dans tous les cas nous définirons un segment élémentaire comme une paire liée d’IBOZO. 

A réfuter aussi le concept de point géométrique que les mathématiciens terrestres ont introduit dans vos cerveaux. Si vous n’avez pas compris cela, c’est que vous n’êtes pas parvenu à assimiler le sens authentique de notre physique.

Le temps et les champs magnétique, gravitationnel et électrostatique.

L’IBOZO est bien plus qu’un facteur qui donne le sens exact des distances cosmiques. Notre Univers est un Tout dont nous pouvons apprécier les multiples facteurs qui apparaissent à nos organes sensoriels et à nos instruments de physique comme des champs statiques de Forces. Ainsi, nous soupçonnons la présence d’un Astre proche par l’influence qu’il exerce sur une masse. Nous définissons alors cette influence comme un champ gravitationnel ou bien nous détectons des trains d’ondes électromagnétiques . L’Univers se présente à nous comme un substrat de phénomènes aussi familier que la vitesse, la force ou le lent écoulement du temps.

En particulier, cette grandeur TEMPS revêt pour nous une importance singulière. Dans les prochaines pages  que nous vous remettrons, nous vous renseignerons sur cette particularité. Nous vous indiquerons par exemple qu’on peut assimiler le Temps à une série d’IBOZO dont les axes sont orientés orthogonalement par rapport aux OAWOO (rayons vecteurs) qui impliquent des distances, pouvant donner le cas, si l’inversion de ses axes est idoine, qu’un observateur dans son nouveau cadre de référence apprécie comme distance ce qui, dans l’ancien système référentiel, était mesuré comme intervalle de temps.

Vous comprendrez alors pourquoi un événement qui se passe à une grande distance de nous ne pourra jamais être simultané avec un autre événement terrestre. Vous comprendrez aussi pourquoi un hypothétique objet qui se déplacerait à la vitesse limite (vous l’appelez vitesse de la lumière) raccourcira sa distance sur l’axe de déplacement jusqu’à la réduire à une paire d’IBOZO.

Vous comprendrez aussi que ce que vous nommez sous particule atomique, comme un neutrino, un méson ou un anti-proton, avec des attributs divers de masse, charge et spin, ne sont que des orientations multiples d’un même IBOZO. C’est d’ailleurs pourquoi, si les physiciens terrestres continuent à passer leur temps à la détection, évaluation et classification de toutes les subparticules possibles, il se passera des milliards d’années pour en finir puisque ce travail est aussi stérile que de donner un nom à l’infinité d’angles sous lesquels nous pouvons contempler une étoile au long d’un jour.

La structure axiale de l’IBOZO

Naturellement si l’IBOZO était comme une sphère ou une hypersphère , en son sein les axes différents pourraient SE COUPER EN UN POINT . Un tel modèle mathématique NE REPRÉSENTE PAS VRAIMENT l’IBOZO.

Une définition préliminaire des IBOZO est celle-ci: Un IBOZO est une entité élémentaire cosmique composée par un faisceau d’axes orthogonaux qui ne peuvent se couper entre eux, liés à un ensemble d’IBOZO indépendants, par des relations de caractère angulaire. Ceci est très difficile à comprendre si vous continuer à conserver l’image mentale classique de l’espace euclidien avec sa trame de points et de droites.

Une fois arrivés à ce point, nous allons utiliser une image pédagogique d’un univers représenté par un immense « essaim de libellules « .

Vous pouvez supposer que ces insectes sont multi chromes. Nous pouvons aussi constater qu’il n’existe pas une seule paire qui ait les mêmes tons de couleurs. Nous pouvons les voir virevolter de manière telle que nous ne saurons jamais où se trouve l’un deux à un instant donné car ils se trouvent en même temps ici et partout. Ils sont verts, magenta, oranges, bleus, dorés, etc. tous mélangés entre eux.

Supposons maintenant que nous ayons un organe de la vision si aigu et spécial que d’un coup d’œil nous puissions localiser les millions de libellules d’une seule couleur (vert par exemple) et que de plus notre cerveau soit si développé qu’il soit capable de les ordonner par nuance, du vert clair jusqu’au moins lumineux… Mais c’est ici que le cerveau nous fait faire un mauvais jugement. Au lieu de percevoir une pléiade ordonnée d’insectes formant une riche gamme de tons verts, nous contemplerions une froide et abstraite ligne droite : la paire de libellules vert clair, plus lumineuse, acquière pour notre cerveau le caractère prosaïque de l’extrémité la plus proche de ce très long segment de droite. La paire de libellules bleu-verdâtre sera représentée comme le point limite et lointain de cette immense droite 

Pour comprendre notre Modèle physique de l’Univers, les terrestres doivent parfaire d’autres images mentales qui se sont converties en topiques pour eux depuis l’enfance. Vous devez étudier d’autres formes plurivalentes de Logique mathématique. Vous devez aussi comprendre que cette image d’un Monde Physique composé d’atomes eux-mêmes composés d’une multitude de subparticules atomiques occupant à chaque instant des positions probabilistes, est une vérité, mais une vérité insuffisante et peu approfondie. Vous devez rejeter cette image mentale absurde consistant à dire qu’une particule qui se déplace  est le passage matériel de cette même particule d’un point P à un autre adjacent P’,  ceci afin de laisser la place au concept réel de vitesse qui implique des rotations diverses dans deux IBOZO liés, rotations par lesquelles le premier IBOZO de la paire, en inversant ses axes, cesse de se présenter sous forme de particule subatomique, pendant que le second s’oriente pour se transformer en une sous-particule (ainsi que vous la nommez) identique à l’antérieure : il se produit ainsi un effet illusoire de translation, un peu comme si deux prestidigitateurs terrestres séparés par dix mètres sur une scène, opéraient en mettant (l’un des deux) un lapin marqué dans la poche, lapin qui serait sorti par son compère quelques instants après. Chacun comprendra facilement que le lapin n’a pas voyagé dans les airs et qu’il s’agit de deux lapins identiques.

Nous sommes surpris d’observer qu’après avoir étudié exhaustivement la Mécanique ondulatoire et observé que tous les phénomènes fonction de temps peuvent se réduire en dernier lieu à une série de fonctions sinusoïdales, c’est à dire cyclique, les Physiciens de la Terre n’aient pas pressenti un univers angulaire, accrochés qu’ils sont au modèle mathématique rigide scalaire postulé par Euclide et ses successeurs.

Mais une correction de ces concepts à l’heure actuelle ne serait guère positive pour vous. Il vaut beaucoup mieux que les physiciens de la Terre découvrent la vérité plus lentement en laissant le temps aux valeurs spirituelles de prendre le dessus sur les instincts agressifs de certaines oligarchies économiques qui règnent en certains pays.

Sur l’image 19 qui suit vous pouvez voir d’une manière symbolique comment l’encéphale réalise un travail de synthèse en classant les IBOZO en une échelle ordonnée en fonction de leur grandeur angulaire par rapport à l’un d’eux pris comme référence.

Un tel stimulus se transforme en l’image mentale de DISTANCE quand, entre l’œil de l’observateur et le corps contemplé, il n’existe aucune matière.

Quand l’homme regarde dans une direction déterminée, son champ visuel englobe l’ensemble des IBOZO dont les OAWOO s’orientent avec des angles différents dans un Champ que vous pourriez symboliser mathématiquement par un hyperplan.

Les initiés comprendront que les IBOZO ne sont pas localisés en des points définis pas plus que les termes désordre ou entropie ne conviennent pour ce modèle. Si les sphères vertes symbolisent une vue dans une direction déterminée, les bleues, rouges, représenteraient autant d’autres rayons visuels dirigés, pour l’œil humain, dans des orientations différentes. 

Le concept du Temps.

L’écoulement du temps entraîne une perception de type psychologique.  Au sein de notre organisme se produit tout une série complexe de phénomènes périodiques, de la circulation sanguine jusqu’à des processus tel que le métabolisme des graisses. Si nous fermons les yeux, nous continuons à percevoir que le TEMPS s’écoule grâce à la rythmicité périodique de ces milliers de phénomènes physiologiques.

Mais le concept de temps pour le physicien de la Terre diffère fortement de la perception analysée par les psychophysiologistes. Vous considérez le TEMPS comme une dimension..

Notre concept de TEMPS présente sans aucun doute des facettes nouvelles qui vous sont inconnues. En premier lieu nous ne considérons pas le TEMPS de la manière dont vous le concevez. Entre autres choses on ne peut concevoir un instant comme un point dans l’axe du temps. .

Il existe de plus un aspect lié à cette question que nous désirons fortement souligner. Vous considérez que la plus grande vitesse que puisse atteindre une sous particule dans le COSMOS est de 299 780 km/sec (vitesse de la lumière) et vous considérez cette vitesse comme « CONSTANTE ».

Mais il suffit de changer de cadre ou de système à trois dimensions pour que cette VITESSE LIMITE varie notablement jusqu’au point où l’unique référence qui puisse refléter le changement d’axe soit précisément la mesure de cette vitesse ou constante C.

Nous définissons ainsi une famille de valeurs qui s’étend de zéro à un «infini mathématique»,  chacune représentant un système référentiel défini limité par le plus petit angle possible entre deux OAWOO

Nous définissons un intervalle de temps ΔT comme une succession d’IBOZO dont les IOAWOO diffèrent entre eux de quantités constantes (24)

C’est-à-dire que nous considérons dans un IBOZO les quatre « axes » (OAWOO) 

(Traduction : 4 axes orthogonaux dans une hypersphère // OAWO générateur de l’IOAWO « distance »)

Si l’OAWOO  U réel oscille à l’intérieur de ce cadre idéal, imaginez maintenant un nouveau système référentiel de deux OAWOO, chacun d’eux formant 90° avec les quatre antérieurs 

Ce nouveau cadre d’action d’un OAWOO (T) réel et ceux antérieurement définis, définissent respectivement l’ESPACE et LE TEMPS (26)

( Traduction : OAWOO générateur de l’IOAWOO TEMPS)

Observez que les OAWOO (AXES DIRECTEURS) qui définissent l’ESPACE ET LE TEMPS possèdent des degrés de liberté distincts. Le premier peut parcourir IOAWOO (Angles-Espace) dans les trois orientations différentes qui correspondent aux trois dimensions typiques de l’ESPACE, le second étant « astreint » à se déplacer sur un seul plan.

Deux IBOZO dont les axes OAWOO T1 et T2 diffèrent par un angle tel qu’il N’EXISTE PAS (dans notre UNIVERS) un autre IBOZO T situé entre les deux, définiront le plus petit intervalle de TEMPS. 

En quoi consiste le flux du temps ? Cet écoulement est-il une illusion ?

Prenons un objet quelconque : un fruit. Même si nous n’avons pas encore développé le concept des sousparticules atomiques, nous avons par contre déjà suggéré dans d’autres documents que chacun des composants atomiques est en réalité un IBOZO. Le fruit sera composé d’eau, d’hydrate de carbone, de protéines et d’autres composants chimiques et organiques. A chaque fois ceux-ci sont constitués d’atomes et ceux-ci par des sous particules: chacune d’elles est un IBOZO avec ses OAWOO (axes) orientés d’une manière particulière.

Quand nous mesurons sur notre montre un intervalle d’une microseconde, l’orange que nous avons dans la main est-elle identique à celle que nous tenions l’instant d’avant ? Non, ce n’est pas la même car en son sein, dans ses cellules le processus de métabolisme a modifié ses caractéristiques.

Si on considère l’Univers comme l’intégration de tous les IBOZO « passés, présents et futurs », nous pouvons  représenter (image 30) ce que nous nous appelons « Moi, maintenant » 

(Traduction: «Plan» symbolique de l’Univers «Maintenant» // «Moi» Maintenant // Un instant de «Mon Futur» (IBOZO inaccessible «Maintenant») // En un point «Loin de Nous» (Autre Maintenant), distinct de «Mon Maintenant»)

Si «MOI» (un IBOZO parmi les milliards qui me constituent)  je me trouve en un « point » P représenté par un IBOZO avec son Tp (OAWOO) orienté verticalement, que se passera-t-il demain ? « JE » serai en T’p (un autre IBOZO) que j’appellerai futur. Mais ; que se passe-t-il sur le plan de « MOI MAINTENANT » pour un autre point éloigné de moi par une distance d, c’est-à-dire une chaîne d’IBOZO ? Tout simplement que l’orientation de son OAWOO Tu (axe du temps) sera différent. On ne peux donc pas dire qu’il y a simultanéité de TEMPS. On ne peux donc pas dire par exemple « MAINTENANT » se produit telle chose sur la planète MARS car un tel concept de simultanéité n’a pas de sens bien que nous soyons dans un même cadre de référence .

Chapitre III

Éléments de métaphysique

L’âme  

L’âme que les Oummains nomment BUAWA est adimensionnelle et atemporelle. Elle existe donc dans un univers dépourvu de hauteur, de largeur, de profondeur et le temporalité, dépourvue de masse et d’énergie. Dans un sens on ne peut pas dire qu’elle est éternelle puisque parler d’éternité fait référence au temps.

Elle est capable de stocker, d’engranger les informations issues de notre expérience existentielle (processus intellectuels, émotionnels et sensoriels).

Mais si l’âme possède des attributs qui transcendent nos sens et nos instruments de mesure, comment les Oummains ont-ils réalisé le tour de force de démontrer son existence ? Comment explorer une chose qui empiriquement n’est pas observable ?

Tout d’abord rappelons un axiome essentiel : la science évalue l’existence d’un facteur en fonction des effets qu’il produit ; et l’âme produit bien des effets au sein de notre univers matériel soumis au flux du temps puisque nous « existons ».

D 41-15

Les âmes possèdent une entité propre, elles sont ADIMENSIONNELLES et jouissent de la liberté de créer des IDÉES POLIFORMES ET CONTRADICTOIRES (si ce n’était pas le cas elles auraient la même essence que WOA Dieu) et cette même liberté s’étend jusqu’à pouvoir contrôler le corps humain et à travers lui, les ÊTRES DU WAAM. L’unique différence consiste dans le fait que nous considérons que de tels BUAWA sont composés et interrelationnés au sein de cet esprit collectif B.B…. (Vous pourriez imaginer comme comparaison terrestre un pot de cerises au sirop: l’exemple est grossier car de tels fruits ont un volume, mais les griottes représenteraient les BUAWA, la peau du fruit: l’OEMII et le sirop: le B.B. La déchirure symbolique de cette peau en un seul point représentera la transmission télépathique.

D 539

Nous pouvons prouver scientifiquement que peu d’heures après la formation du zygote diploïde (fécondation) se forme le OEMBUAW (O) un réseau du gaz krypton (séquence d’atomes non reliés par des connexions de valence qui met l’être à naître en contact avec son BUAWA (ÂME)


La découverte de l’âme sur Oummo

Le scientifique Oummain auteur de cette découverte majeure avait détecté la présence d’atomes de krypton profondément logés dans l’hypothalamus d’une jeune femme (notons que les atomes de Kr ne se trouvent pas tous dans l’Hypothalamus).

Le krypton est un gaz rare, neutre, très stable, qui normalement n’interagit pas avec le milieu, même un milieu biologique vivant. Néanmoins, il est compréhensible que la découverte de la présence de quelques atomes de krypton au fond du cerveau d’un sujet Oummain ait poussé la curiosité d’un scientifique à aller y voir de plus près.

Ce scientifique observa donc sur l’équivalent d’un écran d’ordinateur la structure probabiliste des électrons de la couronne d’un des atomes de krypton, et les sauts quantiques d’énergie qui s’y produisaient. Normalement, tout électron qui se respecte et qui respecte les lois de la mécanique quantique suit une fonction probabiliste, c’est à dire qu’il est régit par le hasard et qu’on ne peut pas mesurer à la fois sa position et sa vitesse : c’est le principe d’incertitude d’Heisenberg.

Or ce scientifique découvrit avec stupeur que les électrons en question étaient distribués selon une loi simple, une fonction périodique. Mieux, les mouvements des électrons coïncidaient avec les impulsions nerveuses émises par le cortex de la jeune fille, impulsions qui entraînaient ses mouvements volontaires, des bras et des jambes par exemples, et non pas ses réflexes.

Par la suite, des mesures précises montrèrent aux Oummains que les mouvements électroniques précédaient d’un millionième de seconde les réactions neurophysiologiques de la patiente, autrement dit qu’ils dictaient des ordres à son organisme !

L’OEMBUAW

Par conséquent, « quelque chose » envoie des ordres au corps qui est comme téléguidé. Ces atomes de krypton jouent donc un rôle d’antenne réceptrice/émettrice, un rôle capital d’interface entre le corps physique et l’âme. Les Oummains appellent ces atomes OEMBUAW. Cette chaîne d’atomes de krypton est un canal de connexion qui relie le cerveau à l’âme.

Par la suite ils découvrirent que l’âme se trouve non seulement hors du corps, mais qu’elle « habite » un autre univers, l’Univers des Âmes que les Oummains décrivent comme un univers statique, gelé, de vitesse ‘’nulle’’, sans matière ni énergie, qui contient en son sein toutes les âmes des êtres conscients et rationnels du pluricosmos, c’est à dire celles des Hommes mais aussi de toutes les âmes des civilisations de notre galaxie, de notre univers et de tous les autres couples d’univers du multivers. Par ailleurs, ils n’ont pas trouvé de connexion avec l’Univers des Âmes chez les espèces animales jusqu’à présent.

Note importante : à chaque âme correspond un et un seul lien avec un être vivant dans l’univers multiple. De ce fait il n’existe pas non plus de « réincarnation » (du moins pas telle que nous l’entendons).

La conscience  

Nous avons donc une âme qui vit en dehors de tout espace/temps et les Terriens en sont dotés, les Oummains l’ont vérifié. Alors comment se représenter notre conscience au jour le jour, piégée dans le carcan du temps, en connexion avec une âme pour qui le temps n’a aucune signification ?


Afin de dénouer cet apparent paradoxe, les Oummains utilisent certaines métaphores didactiques :

1 – Représentez-vous un petit Homme immergé dans le temps, c’est à dire tout au long de sa vie. Et bien une manière de le représenter est de dessiner un boudin dont la tranche, lorsqu’on le coupe, a une forme humaine. Ce boudin représente toute la vie de l’Homme. Autrement dit son âme, pour qui le temps n’existe pas, agit non pas sur le corps de l’Homme au fur et à mesure que le temps passe, mais d’un coup sur toute la longueur du boudin.

2 – Autre illustration pour comprendre que le temps n’existe pas pour l’âme bien qu’elle conforme librement la vie de l’Homme dans le flux du temps :

Imaginez-vous un tunnel souple en plastique transparent. Il fait nuit, et un Homme marche à l’intérieur du tunnel avec une lanterne pour s’éclairer. Le tunnel est bien entendu la métaphore de sa vie sur Terre. Les meubles qui sont devant le bonhomme, dans le noir et que la lanterne n’éclairent pas, c’est le futur. Les meubles qui sont derrière lui forment les événements du passé, et là on peut dire que l’Homme est pourvu d’un rétroviseur : sa mémoire conserve une certaine vue du passé. Est-ce parce que l’Homme ne voit plus les meubles qui sont loin derrière lui, ou bien qu’il ne voit pas encore les meubles qui sont devant lui dans le noir, que ces meubles n’existent plus ? Non. Le présent est cette lanterne qui dévoile la réalité, pas à pas, mais la réalité passée et future préexiste et demeure. Alors, si le futur est déjà écrit, le libre arbitre est-il un leurre ? Non. C’est que l’âme a posé son tunnel sur la terre en une seule fois. Elle a d’abord vu la forme du terrain, les creux les bosses, les collines, les arbres et les rochers à éviter ; elle a vu les tunnels des autres humains se poser ça et là, elle a vu tout cela du haut de son intemporalité et a décidé librement de son chemin de vie. C’est évidemment difficile à concevoir et on ne peut que l’intuitionner : ce paradoxe est probablement la conséquence d’un manque de connaissance et d’imprécision sémantique.

Que nous arrive-t-il après la mort ? Pour le savoir il faut aborder l’univers des Métaconscience Planétaires, l’univers majeur de la Création.

Métaconsciences Planétaires 

L’Univers des Métaconscience Planétaires recouvre toutes les fonctions de la notion de Paradis ; mais il est aussi bien plus que cela et recouvre toutes les fonctions de l’inconscient collectif.

L’ Univers des Métaconsciences Planétaires contient un nombre quasi infini de cellules. Chacune d’elles représente une Métaconscience Planétaire qui est elle-même composée de plusieurs autres consciences (dont celles des êtres humains qui peuplent la planète en question). 


Dès qu’une planète abrite la vie, dans n’importe lequel des univers qui forment le pluricosmos, il existe en relation biunivoque une Métaconscience Planétaire qui lui est reliée.

Les Oummains ont vérifié sur Terre leur modèle et ont mis en évidence notre âme et notre Métaconscience Planétaire. Nous sommes bien reliés à une Métaconscience Planétaire, qui est différente/séparée de la Métaconsciences  de la planète Oummo.


Il pourrait pourtant y avoir selon eux une possibilité de communication entre chacune des consciences collectives planétaires, ce qui permettrait de produire petit à petit à travers une action néguentropique coordonnée une Hyper Métaconscience Planétaire Universelle. 

Les différentes fonctions d’une Métaconscience Planétaire

– Recevoir de la part de l’ensemble des êtres vivants, plantes, animaux, microbes qui vivent sur la planète en liaison des informations sur le milieu, sur le biotope et ainsi permettre les rétroactions entre le créateur et sa création.

– Recevoir de la part des êtres possédant une âme la totalité des informations engrangées par leurs âmes : sensations (vue, ouïe, toucher, odorat, goût + temporalité), émotions (joie, douleurs, plaisir, etc.), processus intellectuels.

Cette transmission entre les entités vivantes d’une planète et la Métaconscience Planétaire agit dans les deux sens :

– La Métaconscience Planétaire transmet aux Hommes, aux animaux et plantes les mutations souhaitées ; il s’agit de l’évolution biologique, l’orthogenèse. On dépasse ici le simple cadre du Darwinisme via le BAYIODUU qui relie le génome d’un être vivant, Homme, animal ou végétal à la Métaconscience Planétaire, par le biais de 86 paires d’atomes de krypton. Ces grappes de krypton ‘’a-quantique’’ sont associées à l’ADN de chaque être vivant.

– La Métaconscience Planétaire transmet aux êtres vivants les patrons de formes via l’OEMBUAW.

Prenons l’exemple de la couleur pour les êtres humains : la couleur n’existe pas en tant que telle. Ce n’est qu’une perception neuro-psychologique. Le substrat de la perception est en réalité un train d’ondes électromagnétiques. Idem pour l’apparence matérielle des choses, qui n’est qu’une illusion. Imaginez un briquet dans votre main : vous ne touchez pas sa surface, car en réalité il existe de grandes distances entre les atomes du métal et les nuages électroniques de l’épiderme. Comment cela se fait qu’il ne tombe pas alors ? C’est à cause de la répulsion entre les charges électriques négatives. Ce briquet a une apparence compacte ? En réalité les noyaux atomiques constituant le briquet sont séparés entre eux dans les mêmes proportions que les soleils. Vous allumez le briquet. Comment la lumière de la flamme arrive-t-elle au cortex ? Elle n’arrive jamais, ce sont des impulsions codées, des messages électriques envoyés par le nerf optique qui parviennent au cerveau. C’est lui qui décode le message et construit un scénario mental.

Revenons à la couleur : une onde électromagnétique correspond à la couleur jaune par exemple. Il suffit que sa fréquence change et votre œil percevra du rouge ou du bleu. Si sa vibration change encore de fréquence, nous allons la capter comme de la chaleur, ou bien des sons. Le monde extérieur est une illusion fabriquée par notre cerveau. Celui-ci fabrique une représentation mentale du monde en appliquant sur la perception des ondes électromagnétiques, qui sont la seule réalité de notre univers, une sorte de programme fourni par la Métaconscience Planétaire qui va permettre de monter une scène de théâtre et de visualiser et de ressentir le monde, un monde finalement entièrement virtuel.

– La Métaconscience Planétaire transmet aussi aux Hommes de façon subliminale les patrons de comportement :

La Métaconscience Planétaire qui enregistre tout ce qui se passe sur Terre est programmée pour traiter cette information au mieux, suivant une programmation intégrant les lois morales cosmiques.

Elle nous retransmet le résultat de ces traitements qui nous donnent des orientations pour nos vies. C’est notre fameuse petite conscience, notre intuition ou encore notre ange gardien. Ses recommandations de vie s’adressent au subconscient et nous laisse par conséquent notre libre arbitre.

Ceci paraît idéal, mais les Oummains nous signalent qu’il existe comme une imperfection dans le système : la Métaconscience Planétaire ne réagit pas en temps réel, et les conseils qu’elle nous envoie peuvent ne pas être toujours adaptés à la situation que nous vivons dans l’instant présent. De la même façon que l’établissement d’un bilan comptable correct nécessite d’attendre la clôture comptable et ne peut se faire au jour le jour, l’établissement et la compilation des règles adaptées de comportement nécessite un traitement dont le résultat correct n’est pas immédiat.

– C’est le lieu de vie de l’âme des entités décédées : on peut se représenter la Métaconscience Planétaire comme une unité centrale cosmique qui permet de traiter l’information et qui permet aux âmes de traiter leur propre information, c’est à dire de vivre, d’exister. Sachant que ces capacités sont infiniment plus puissante que celles de notre petit cerveau, et que d’autre part la Métaconscience Planétaire dispose d’une somme d’informations sans pareil, il devient compréhensible d’affirmer comme le font les Oummains que c’est une pure joie de s’intégrer à la Métaconscience Planétaire ; sauf bien entendu dans le cas où l’âme a librement choisi des comportements erronés qui ne sont pas en adéquation avec les lois morales cosmiques. Une telle âme, qui ne prend pas en compte les lois universelles, ne peut pas être intégrée directement dans la Métaconscience Planétaire car son information engrammée déformée perturberait la magnifique harmonie de l’esprit collectif. Il se passe donc pour cette âme un processus de « reconformation », et c’est ce processus qui est l’équivalent  d’un purgatoire auto-induits par la vie même que nous avons menée.

Les Oummains disent : « c’est quand nous vivons que nous sommes morts ». A la mort, nous sommes en quelque sorte libérés de cet « esclavage illusoire « . 


– La Métaconscience Planétaire permet aux décédés de nous adresser des messages subconscients.

–  La Métaconscience Planétaire permet l’émergence d’une capacité courante sur Oummo, rare et méconnue sur Terre : la télépathie. Selon les Oummains, nous sommes plus ou moins bien outillés cérébralement pour et il n’y aurait aucune raison que nous ne puissions pas y accéder en suivant l’entraînement idoine.

-Les Oummains sont télépathes et d’après eux, nous avons tout « l’équipement » nécessaire pour l’être également. Si nous ne l’utilisons pas c’est parce que les réflexes synaptiques ne se sont pas développés, faute de nous être préoccupés d’utiliser cette faculté.

Précisons qu’il n’existe pas de connexion directe, pour un être conscient, entre son âme et la Métaconscience Planétaire. En fait il existe deux  types de transmissions distinctes via OEMBUAW, du cerveau vers l’âme ainsi que du cerveau vers la Métaconscience Planétaire. Il est nécessaire d’assimiler cela  afin d’expliquer l’enchaînement des flux qui sont mis en jeu lors du processus particulier qu’est la télépathie.

Les Oummains disent qu’ils n’ont pas pu vérifier d’interconnexion entre Métaconsciences Planétaires différentes.

Description physique imagée de l’univers des Métaconsciences Planétaires

Encore une fois, il s’agit d’une découverte scientifique liée à des atomes de krypton logés dans le cerveau possédant un comportement non quantique. Les Oummains s’aperçurent que des atomes particuliers recevaient le même message, quel que soit l’individu et au même moment, quelle que soit la distance entre les individus.

Si on pouvait voir l’intérieur de l’univers des Métaconsciences Planétaires, on verrait des filaments et des nodules, un peu comme des neurones et des synapses, formés d’une matière ayant la densité d’une étoile à neutrons. Ici, la matière n’est pas constituée d’atomes mais de particules fortement comprimées sans électrons, donc sans charges électriques. Ces filaments oscillent en ondes stationnaires, synonyme d’informations.

La fonction d’évolution du vivant

Les Oummains nous disent que la conception darwinienne de la sélection naturelle qui orienterait les espèces vers un perfectionnement progressif à base de mutations aléatoires n’est pas suffisante. Si cette théorie était totalement valide, nous devrions constater des involutions, des modifications du génome qui engendreraient des régressions, des mutations mortelles ou handicapantes. Et dans le cas de la couleur des insectes qui adoptent exactement la couleur de la feuille, par exemple, nous devrions assister à des mutations régies uniquement par le hasard et qui donnerait lieu à des insectes oranges, rouges, jaunes, bleu, etc.. Bien sûr, seuls les plus camouflés survivraient par le biais de la sélection naturelle, mais les anormaux devraient naître également, en quantité, et nous devrions observer leur apparition, ce qui n’est pas le cas.

Le BAYIODUU

L’explication que nous donnent les Oummains des lois de l’évolution est la suivante: il existe sur chaque chromosome une chaîne d’atomes spéciaux, le BAYIODUU, dont la fonction est de relier le génome d’un être vivant à la Métaconscience Planétaire par le biais de 172 atomes de krypton  »a-quantique », 86 paires en fait.

Le BAYIODUU contient plusieurs sous systèmes :

– D’abord sont codées à l’aide de 86 paires d’atomes, et ce pour chaque chromosome, toutes les possibilités existantes d’êtres organiques qui peuvent se réaliser dans la nature, tous les plans de construction dans la totalité de notre univers. Ces atomes sont comme des pendules qui fonctionnent à l’unisson ; synchronisme entre toutes les espèces vivantes.

– les 86 atomes par chromosome, ont une fonction dynamique : ils captent en premier lieu l’information issue du cytoplasme, qui les renseignent sur le milieu, et en second lieu ils altèrent les chromosomes, en tant que de besoin et en suivant les codifications préétablies et permises du génome fournies par leurs compagnons kryptoniques appariés.

C’est ainsi que l’évolution se produit toujours dans un sens positif. :

Alors comment le cytoplasme peut-il receler de l’information sur le milieu ?

Premièrement ce sont les atomes d’oxygène de l’eau cellulaire qui subissent une excitation de leurs couches orbitales électroniques en fonction de ce que l’organisme vivant capte du milieu électromagnétique ambiant : la couleur des algues et des rochers par exemple pour un crabe. L’atome de krypton dynamiseur est en mesure de capter cette information provenant du milieu extérieur via l’atome d’oxygène.

Deuxièmement, les atomes d’hydrogène de l’eau contenu dans le cytoplasme de la cellule captent une gamme de radiations électromagnétiques : notamment sur la fréquence de l’hydrogène. La mémorisation des variations radiatives seraient accusées par intervalles de temps de l’ordre d’un millier d’années. Les atomes d’hydrogène de l’eau cellulaire, à la fois récepteurs et mémoire, contiendraient donc des informations depuis l’apparition de la vie sur la planète.

Le rapport est incomplet, on ne sait rien du mécanisme mettant en relation l’atome de Krypton contenant la codification des mutations possibles, et l’atome de Krypton dynamiseur, informé du milieu. On peut imaginer qu’il se produit quelque chose comme une interrelation entre les deux atomes qui déclencherait de la part de l’atome dynamiseur un choix de mutation et le lancement de l’ordre de mutation adressée au chromosome porteur du code génétique.

On ne sait rien non plus du rôle joué par la mémorisation des variations de rayonnement dans le spectre de l’hydrogène interstellaire.

Le rôle du krypton cellulaire paraît donc essentiel au développement des formes vivantes pour leur mise en relation avec la Métaconscience Planétaire.

Chapitre IV

L’Homme-Dieu 

On apprend que très peu de choses sur Dieu (WOA) à travers les documents

En effet, les Oummains nous avouent l’impossibilité de décrire ce qui par définition ne peut être défini. WOA est véritablement transcendant.


Extraits :

« Notre agnosticisme nous pousse à nous abstenir de définir et de sonder quelque chose d’aussi transcendant que WOA.

Nos penseurs n’essaient pas de spéculer autour de l’essence de ce qui n’est pas accessible, par exemple WOA..

Nous aimons le Créateur, mais comme il ne nous est pas accessible, comme il transcende notre conscience comme nos concepts du WAAM … nous projetons cet amour sur les autres EESEOEMII (nos frères) »

Les Oummains se disent d’ailleurs agnostiques (doctrine selon laquelle tout ce qui est au delà du donné expérimental est inconnaissable, autrement dit tout ce qui est métaphysique par définition).

Que nous disent-ils encore de WOA ?


– WOA est adimensionnel.

– Il coexiste avec la réalité ultime.

– On ne peut pas dire WOA fut, ou WOA sera, mais WOA est.

– Il est le seul être pensant qui ne déforme pas la réalité ultime en pensant à elle.

– Nous, habitants de l’univers, nous sommes cocréateurs de l’univers, notre pensée participe à l’élaboration de l’univers. La pensée de Dieu ne modifie pas l’univers en train de se créer, en quelque sorte Dieu le laisse libre.

Il n’y a d’ailleurs pas de rituel dédié à Dieu ni de culte. La seule traduction d’un amour et d’une vénération de Dieu existe sous la forme de l’amour fraternel, ainsi que dans la sévérité du compromis social. Ne connaissant pas Dieu, ils transposent cette énergie dans le suivi au plus près des lois morales déclinées en lois sociales et le remercient « d’être ».

Les Oummains nous reprochent notre anthropocentrisme. Nous avons trop tendance, disent-ils, à nous figurer Dieu comme un Homme, barbu, et surtout nous lui prêtons trop de comportements et de raisonnements humains.

Pourquoi Dieu tolère-t-il le mal est un leitmotiv qui revient dans toutes nos interrogations religieuses, qu’elles soient juives, chrétiennes ou musulmanes. Or WOA est par essence inaccessible à l’entendement. Il est transcendance pure. Et notre questionnement sur Dieu, qui est en fait un questionnement sur l’Homme, est sans objet. 

Les Hommes-dieux

Dans leur Histoire, et dans l’Histoire d’autres peuples de la galaxie, les Oummains ont connu des hominiens très particuliers qui traduisaient une avance en terme d’évolution sur le reste des habitants, car ils possédaient dans leur cerveau une liaison kryptonique supplémentaire : une liaison non quantique avec Dieu, en plus des liaisons non quantiques avec l’âme et la Métaconscience Planétaire.

Cette liaison est de type informatif, c’est à dire qu’affleurent à l’esprit de ce « plus-qu’Homme » les lois divines les plus sublimes, ce qui n’empêche pas ce « plus-qu’Homme » de rester libre de ses décisions.

Cet homme ou cette femme possèdent un corps physique tout à fait semblable aux autres hommes et femmes, mais se distinguent par une incapacité génétique à se reproduire (autrement dit il naît toujours de parents normaux), par une grande intelligence, et surtout par cette connaissance innée des lois morales.

Cette naissance particulière est, comme sur Terre, survenu une fois sur la planète Oummo.

Cet Homme-Dieu, qu’ils appelèrent OUMMOWOA, expérimenta l’accès au stade ultime de l’évolution du cerveau biologique.

OUMMOWOA est arrivé à un moment de leur Histoire situé grosso modo entre notre renaissance et notre XXième siècle en termes de développement technologique. On peut penser que cela s’est situé voici 4700 ans terrestres, mais sans réelles certitudes.

L’Histoire de tel êtres charismatiques et dont la moralité est exemplaire provoque souvent des remous dans les sociétés dans lesquels ils sont plongés, ne serait-ce que parce que les autorités religieuses et politiques font souvent preuve d’un manque de morale. Et c’est ainsi que l’histoire d’OUMMOWOA ressemble fort étrangement à celle de Jésus, c’est à dire qu’il fut un rebelle, un être révolutionnaire, un gêneur pour sa civilisation et qu’il fini condamné à mort et torturé.

En effet, recherché par la police pour ses causeries séditieuses, OUMMOWOA a fini par se livrer lui-même et fut torturé.

Et c’est là qu’intervient une des particularités les plus exemplaires de ce type d’Homme-dieu :

Alors que le processus de torture était en cours, OUMMOWOA disparut, son corps se volatilisa. Sept témoins visuels assistèrent à la dématérialisation.

Cette dématérialisation est longuement expliquée dans les textes: il s’agit d’un phénomène physique parfaitement compris par les Oummains. L’explication qui nous en est donnée est que la fonction pensante et consciente de cet Homme-dieu atteint, à un moment paroxystique, un tel degré de puissance que la Métaconscience Planétaire à laquelle il est connecté est mise en danger, et déclenche son rapatriement de force au sein d’elle même. Les Hommes sont des capteurs d’information pour la Métaconscience Planétaire, au même titre qu’un micro capte les sons et les envoient à un amplificateur qui les traite. Là nous assistons à une sorte d’effet larsen, à cause d’un micro trop sensible, qui met l’amplificateur et les baffles en danger.

On peut aussi avancer que l’Homme-dieu, dont les processus intellectuels et émotionnels sont captés par la Métaconscience Planétaire, met la libre et graduelle évolution de celle-ci en danger puisque à travers l’Homme-dieu filtrent les pensées de WOA.

Tout cela pose des questions sur notre propre histoire Chrétienne: pourquoi l’histoire de Christ précisément? Parce que les Oummains ont mis en évidence une parenté étroite entre OUMMOWOA et le Christ.

Les doctrines sont semblables, les Oummains signalent que Jésus n’a jamais prétendu fonder une Église, et que la chrétienté a été construite par des Hommes.

Pour conclure, il y a un parallèle frappant entre la dématérialisation d’ OUMMOWOA et l’ascension du Christ devant témoins 40 jours après sa crucifixion. Oui mais, objecterez-vous, la crucifixion a tué Jésus qui a ressuscité entre temps, ce qui est une différence notable ! FAUX disent les Oummains qui ont beaucoup enquêté sur l’histoire chrétienne, y compris en terres d’Israël, d’Égypte et de Jordanie.

Faux pour plusieurs raisons. La première leur est apparue en étudiant l’histoire du Sindon, le saint-Suaire. L’Église aurait découvert en 1898 par le biais d’une étude scientifique que le suaire, le véritable suaire d’après les Oummains, était imprégné d’un sang provenant d’une personne en vie, et non pas d’un cadavre. Ceci impliquant donc qu’il n’y a pas eu résurrection, le miracle suprême et fondateur de l’Église. Sur ce fait susceptible de désorganiser la chrétienté, le clergé décida de fabriquer un faux suaire qui sera obtenu en 1928 à partir d’un moule en fer chauffé à 230°C.

Remise en cause de certains dogmes pour l’Église

Jésus aurait pu naître femme, mille ans plus tôt ou plus tard : la loi biologique de l’évolution dit qu’un Homme-dieu doit naître un jour, sans dire l’endroit sur la planète ni la date.

Le Christ n’a donc pas été « envoyé par son Père » pour sauver les Hommes du péché originel, ce dernier n’existant pas. Il est venu pour informer du message, celui de l’amour nécessaire du prochain

Pas de péché originel, pas de résurrection, pas de rachat collectif (il n’y a pas matière à rachat puisqu’il n’y a pas de péché à l’origine), pas de virginité de la mère du Christ, un « Nouveau testament » hors sujet, et pour conclure une tromperie historique à propos du suaire et de la vie de Jésus réalisée par l’Église, cette dernière étant au courant, au moins en partie, des faits allant à l’encontre du dogme qu’elle continue à promulguer. Dans un tel cadre explicatif, la déstabilisation de l’institution ne ferait aucun doute.

Les futures naissances d’Hommes-dieu

Quand un Homme-dieu naît, les Oummains nous apprennent qu’il se produit un effet de rejet: la Métaconscience Planétaire n’autorise plus aucune autre naissance de ce mutant sur la planète avant un temps extrêmement long qui se chiffre dans une fourchette de plusieurs millions d’années

Lorsque cette durée s’est écoulée, commence progressivement à naître à nouveau des Hommes-dieux. Tout comme le premier, ils n’ont pas de descendance, ils ne peuvent se reproduire, et tout comme le premier ils ne meurent pas de vieillesse, se dématérialisant à un moment intense de leur vie.

Plusieurs siècles plus tard, les naissances de ces Hommes-dieux se font tellement nombreuses que l’espèce humaine évoquée se trouve alors en voie d’extinction. Ces Hommes «s’évaporent», tandis que les homos Sapiens se reproduisent de moins en moins. Et un beau jour, la planète se vide de ses Humains. L’humanité a terminé son cycle d’évolution. La Métaconscience Planétaire a atteint une certaine forme d’apogée et … Ce qui se passe ensuite reste un mystère.

La durée totale d’évolution depuis le premier être humain, jusqu’au dernier,  semble être en moyenne de 38 millions d’années.

La vie après la mort  

« C’est quand nous sommes vivants, que nous sommes morts.« 

Nous participerons aux joies de l’existence et de la connaissance de façon incroyablement plus forte en profitant des capacités de traitement de l’information de la Métaconscience Planétaire, en lieu et place de notre cerveau, et en profitant de l’information en provenance des centaines de milliards d’expériences humaines préalablement vécues.

Chapitre V 

Relations de voisinage et voyages dans l’espace

Tweet O 6 

La vie est partout. Et de chaque monde civilisé autour de nous, au moins un autre est à moins de 17 a.l.

D 69-5

Un observateur qui se trouve à une distance qui n’est pas excessive, peut observer l’apparente  » annihilation  » instantanée d’un vaisseau de ce type. Cette pseudo-disparition peut avoir deux causes : comme je vous l’ai dit dans les pages précédentes, à l’instant OAWOOLEAIDAA où tous les IBOZO correspondant à l’enceinte délimitée par la IITOAA changent « d’axes  » (OAWOO) dans le cadre tridimensionnel où se trouve placé l’observateur, toute la masse qui est intégrée dans cette enceinte cesse d’avoir une entité physique. Ce n’est pas qu’une telle masse soit  » annihilée », car le substrat de cette masse est composé par les IBOZO ou autrement dit la masse s’interprète comme un plissement de la chaîne des IBOZO. Notre Physique interprète ce phénomène comme si l’orientation de cette dépression ou le plissement des entités constitutives de l’espace changeait de sens de telle manière que les organes sensoriels ou les instruments physiques de l’observateur ne sont plus capables de percevoir un tel changement.

A cet instant t0, le vide dans l’enceinte est absolu. Il n’y a pas une seule molécule gazeuse et bien entendu aucune particule solide ou liquide, ni même une particule subatomique (proton, neutrino, photon, etc.) qui puisse être localisée d’une manière probabiliste dans cette enceinte. Dit de votre manière : la fonction de probabilité est nulle en to. Toutefois une telle situation instable ne dure qu’une fraction infinitésimale de temps. L’enceinte se voit « envahie » consécutivement par des quantons énergétiques, c’est-à-dire que se propagent en son sein des champs électromagnétiques et gravitiques de diverses fréquences, elle est immédiatement traversée par des radiations ionisées et enfin se produit une implosion quand le gaz extérieur se précipite dans le vide laissé par la structure « disparue ». Cette implosion constitue l’explication de ces « détonations »  que quelques observateurs terrestres d’OVNI ont cru percevoir dans certaines occasions après la disparition apparente du véhicule.

Cette disparition de l’UEWA au regard du spectateur éventuel ne doit pas toujours être interprétée comme un effet de ce processus d’inversion dans un cadre tridimensionnel différent. Quand l’observation est nocturne, les vaisseaux (tout au moins les nôtres) peuvent être parfaitement observés grâce à la luminescence générée secondairement par le revêtement structurel. La lumière émise par nos UEWA se situe dans la bande spectrale optique qui, pour la rétine de l’homme, corresponds à la gamme chromatique du jaune à l’orange. Une telle luminescence peut être annulée par la même UEWA, ce qui fait que le véhicule semble « s’estomper » , « s’éteindre » ou « disparaître ».

D 117

La somme masse et énergie dans l’ensemble de n cadres spatio-temporels  (Univers) est CONSTANTE 

D 357-2

Dans le WAAM tridimensionnel dans lequel nous vivons, les « choses » sont constituées d’IBOZO (I.U.). Une ronce de la Terre ou un animal d’Ummo  ne sont rien d’autre que des réseaux d’I.U. Mais, nous pourrions croire que de tels I.U., dans leur réalité extérieure, sont situés dans le même ordre que les points de l’image que capte notre neuro-encéphale. Il n’en est pas ainsi. Nous captons des angles définis par des I.U. complémentaires. Ce flux « désordonné » de données arrive au réseau de neurones et c’est celui-ci qui les ordonne en référence à des patrons d’images mémorisées dans BUAWE BIAEII /B.B. (- les Métaconsciences Planétaires -.) Dans ce cas, depuis la création du WAAM-WAAM, B.B. agit comme un organe universel générateur de formes et d’images.

De cette façon, vous pourrez comprendre que les formes que nous voyons, les configurations d’un carré ou la couleur verte d’un arbuste de la Terre, n’existent pas dans le monde extérieur telles que nous les percevons, (mais) seulement dans le B.B., Par contre il est certain qu’il existe une relation ou correspondance que vous appelleriez bi-univoque entre une couleur (image dans le  B.B.  et le cerveau) et un quanton électromagnétique photonique de notre WAAM.

Les patrons séquentiels d’impulsions bioélectriques dans le réseau neuronique encéphalique ne ressemblent en rien à un triangle ou à la couleur orange.

Si B.B. n’existait pas, nous ne prendrions pas conscience des formes et des couleurs, mais seulement d’impressions purement « émotionnelles » confuses et diffuses.

D 731

L’Univers réel se compose d’une famille de paires de Cosmos. Dans chaque paire d’UNIVERS-ANTI UNIVERS, prédomine un type de masse + M et – M (les signes sont conventionnels). De plus, chaque couple se caractérise par la vitesse qu’atteint dans le vide un quanton ou photon d’énergie électromagnétique.

Nous appelons WAAM-WAAM cette gerbe d’Univers. Nous soupçonnons qu’il existe réellement une infinité de paires de Cosmos (nous n’en connaissons vraiment que quelques-uns), une partie d’entre eux accessibles dans nos voyages entre deux points de notre Galaxie. Nous savons que les différents Univers ont des interactions entre eux. Les singularités de l’un d’eux (masses ± √ – m concentrées) influencent les Univers adjacents (sans masse ± √ – m).

Quatre de ces Univers nous intéressent spécialement, vous et nous. En premier lieu, notre propre anti-Cosmos. En lui prédomine ce que vous appelez Antimatière (Masse « sensiblement égale à » – M). Il y a aussi en lui de petites quantités de + M. Notre Cosmos jumeau provoque dans le nôtre des perturbations qui se traduisent par des plissements dans notre « continu » espace temps. Ce sont ces plis qui nous permettent d’effectuer des voyages entre Astres planétaires en moins de temps qu’il faudrait en suivant une trajectoire photonique.

Les perturbations entre Cosmos sont produites parce que dans l’un d’entre eux se trouve un type de masse que vous qualifieriez mathématiquement d’  » IMAGINAIRE  » (dans un autre cadre du faisceau tridimensionnel). Cette masse imaginaire a comme vitesse « au repos » (énergie maximale) la vitesse d’un paquet d’énergie électromagnétique (photon) ± √ – m. L’existence de cette masse permet l’interaction ou action mutuelle, entre Univers, bien que la masse imaginaire mentionnée se localise seulement dans un des membres du couple. L’interaction ne serait pas possible si la matière se trouvait distribuée isotropiquement (uniformément), ce qui évidemment n’arrive pas,  sauf à l’instant initial du Cosmos.

Il existe une infinité de paires d’Univers (beaucoup d’entre elles en phase terminale) avec une masse sous-critique. Ces Univers (comme les autres) naquirent avec un rayon infini et une répartition de masse isotrope (cristal cosmique) et une densité nulle. Le rayon allait en diminuant (la direction ou sens du temps était négative par rapport à l’actuelle). Mais la perturbation des Cosmos adjacents fit que se produisirent des singularités de masse c’est-à-dire : d’abord des Nébuleuses de gaz et de poussières, futures galaxies, cessant d’être isotropes

Dans une première phase de ces Univers (temps négatif) l’entropie diminue (elle était initialement infinie), la densité croît, leurs habitants observeraient dans leurs instruments spectroscopiques un déplacement vers le violet. Les galaxies se précipiteraient les unes sur les autres.  Nous disons que la seconde mort survient quand le rayon vient à être Nul. La masse continue d’être constante, la densité est infinie et instable.

Arrivé à cet instant, tout l’Univers est réduit à un réseau d’IBOZO dont tous ses composants sont orientés à angle nul (rayon zéro) qui, si nous pouvions le percevoir, nous semblerait un point avec une densité de masse infinie (Ceci, vos frères cosmologistes de la Terre l’ont bien compris et c’est totalement certain).

Ce qui n’est pas certain, c’est que ce dit « Cosmion », ou Univers primordial, soit instable et par conséquent explose. Si les Univers adjacents n’existaient pas et s’il n’y avait pas plus que deux types de masse (et non quatre) qui perturberaient cette hypermasse en la déséquilibrant, ceci serait le stade final du Cosmos décrit. Il survient donc une expansion accélérée par l’apport énergétique initial de cette perturbation (qui est inversement proportionnelle au rayon).
Si nous considérons les constantes S (fonction de la vitesse du photon dans le vide pour cet Univers et par conséquent reliée à la masse) et Q, une constante du WAAM-WAAM.
M est la masse globale du Cosmos considéré. R est le rayon de l’Univers spatiotemporel (R doit être considéré non comme linéaire, mais comme le rayon d’une hypersphère), (-) E est l’énergie apportée à l’Univers dans son étape initiale (la formule subit une déviation et cesse d’être exacte pour les grands rayons, c’est-à-dire dans une étape d’expansion avancée).

(Ndt: B est fonction des unités employées.

E représente l’énergie apportée à chaque instant. L’énergie totale s’obtiendrait en intégrant entre R = 0 et R au temps 0,680 UIW (l’UIW équivaut à environ 185,5 secondes de la Terre)
(A partir de cette valeur du Temps de l’Univers, quasiment un « instant » après l’explosion, la fonction citée a besoin d’une grande correction)

Dans l’Univers de masse sous-critique, son Rayon continue d’augmenter :

[En réalité, il s’agit d’un hyper-espace à deux rayons de courbure (hypersphère (-)], sa troisième  » mort » est un hyper-espace « cristal » isotrope de densité nulle. Dans les deux phases du Temps (Entropie d’abord décroissante, et ensuite entropie croissante qui finit avec une entropie infinie, cet Univers a contenu des galaxies et des « cellules » néguentropiques. (Les humanités intelligentes et les planètes à espèces biologiques non intelligentes – nous voulons dire non humaines puisque le terme intelligent a ce sens dans ce contexte).

Que se passe-t-il avec les Univers de masse supra-critique ? Leur évolution est très différente.

Leur concentration de masse en un point évolue ensuite avec une densité décroissante au début et un rayon croissant mais qui n’arrive jamais à être infini comme dans les Univers précédents, mais qui atteint une valeur maximale jusqu’au point où le signe se renverse, où l’entropie commence à décroître, où la densité moyenne augmente jusqu’à ce qu’il collapse en un point de densité infinie.

Les considérations sur le WAAM décrit dans le paragraphe précédent peuvent s’appliquer à ces WAAM. Dans ces WAAM aussi, l’explosion est due à un apport d’énergie dont la fonction est identique. Et par conséquent dans ceux-ci également apparaissent des galaxies et des planètes avec des réseaux biologiques. Nous mêmes avons connu quatre de ces WAAM caractéristiques.

Notre anti-cosmos nous est bien connu. Il est constitué de masse d’antimatière. Si nos UEWA (nefs) n’invertissaient pas leurs IBOZO dans le sens (-M), elles pourraient se désintégrer par un impact avec n’importe quelle quantité de gaz ou de poussière cosmique en libérant une immense quantité d’énergie. L’interaction entre nos deux cosmos est très grande, de grands plissements s’observant dans les deux Univers dans leur surface tétradimensionnelles dus à cette cause mutuelle.

Nous ne pouvons percevoir avec nos instruments la Masse imaginaire qui est de deux types: + √ – M et – √ – M.

Nous détectons seulement une radiation secondaire produite par les paires d’IBOZO qui conforment cette classe de masse. Radiation ou énergie que vous pourriez comparer à l’onde de choc d’un avion quand il atteint une vitesse supérieure à M1 (supersonique).
Sans l’existence de tels types de masse imaginaire les Univers du WAAM-WAAM existeraient mais seraient isotropes ; de rayon nul et de densité infinie. Le WAAM-WAAM se réduirait à une famille « d’hyperatomes » super denses et ponctuels, l’interaction mutuelle ne serait donc pas possible. WOA ne serait pas « intelligent » en générant un simple « cristal ». L’information serait nulle dans tout le Pluri Univers. Cela n’a pas de sens de parler d’un concept si aberrant.

Il existe dans l’ensemble des Univers deux Univers « limites » qui sont cependant « adjacents » (en entendant comme adjacents non le sens géométrique habituel que vous donnez à ce mot, « adjacent » signifierait = interaction maximale. Ce sont: le WAAM B et le WAAM BB

…./…

Il se peut que soit énigmatique pour vous la notion que la masse imaginaire+/- √ – m ne soit pas capable d’avoir une interaction avec la masse du WAAM dans lequel elle existe, et cependant puisse influencer par « effet frontière » le WAAM « adjacent ». Vous désireriez sûrement plus de données sur cet organisme vivant qu’est le WAAM-WAAM, ou sur l’UWAAM (Cosmos jumeau), qui nous est adjacent et qui possède une masse négative. Sans aucun doute, dans cette vision cosmologique, le rôle d’Ummowoa et de Jésus vous intriguera. Nous avons à peine précisé que, dans beaucoup de WAAM, il ne semble pas s’y trouver d’OEMII, bien qu’il y ait une vie primitive et qu’il n’existe pas d’êtres de masse imaginaire +/- √ – m mais qu’il existe des êtres d’antimatière dans les WAAM où celle-ci prédomine..

NR22

Précisions concernant la communication télépathique et les voyages spatiaux

La mention d’un retard de réception lors d’un échange télépathique entre des individus situés sur deux astres froids distincts vous semble suspecte. L’indication donnée de la cause de ce retard – des interférences dues à la présence de matière imaginaire dans OUWAAM – ne doit pas vous porter à conclure que cette matière imaginaire interfère avec le flux télépathique pour le distordre ou le freiner. Vous devez comprendre que deux points distants du WAAM sont soumis aux ondulations incessantes du tissu spatio-temporel induites par la matière imaginaire située dans les WAAM contigus – principalement UWAAM – et qu’ils ne sauraient se trouver que fortuitement sur la même ordonnée temporelle. Comme ils sont séparés par des distances tridimensionnelles ils le sont par une distance temporelle. Ainsi il est illusoire de parler d’instantanéité entre le maintenant MT sur la Terre et le maintenant M0 sur UMMO.

De façon imagée, si l’on disposait d’un lien cohérent reliant la Terre à UMMO, tel un faisceau d’ondes, et en supposant que de l’information puisse transiter par ce lien sans limitation de la vitesse linéaire (dx/dt = ∞), l’acheminement de cette information dans le cadre tridimensionnel parcourra nécessairement un chemin homotope à l’isochrone direct du cadre spatio-temporel associé. Cet isochrone, toujours plus court que la distance tridimensionnelle apparente (cf. note 1), sera alors confondu avec la ligne isodynamique reliant les potentiels entropiques minimaux le long du chemin réel. La transmission de l’information prendrait, dans ce cas fictif, un temps de translation non nul exactement égal, en valeur négative, au décalage temporel entre les ordonnées respectives de l’émetteur et du récepteur lors de l’émission du signal. Dans ce cas fictif précis, cela-reviendrait à recevoir l’information avant qu’elle ait été émise.

Dans le cadre physique réel, l’information se propage en suivant l’ondulation spatio-temporelle minimale existant entre la Terre et UMMO à une vitesse dépendant du flux d’entropie, globalement constant pour l’ensemble du WAAM. Sans l’influence de la matière imaginaire des WAAM contigus, le chemin suivi dépendrait entièrement de la topologie du WAAM et le décalage temporel serait alors uniquement dû à la courbure locale le long de ce chemin. Cependant, la propagation de l’information reste aussi soumise aux aléas des ondulations du WAAM qui induisent un décalage temporel supplémentaire – positif ou négatif – entre l’émission et la réception de l’information. Ainsi, en fonction des conditions isodynamiques que nous connaissons avec une précision correcte, nous avons pu estimer une déviation temporelle supplémentaire, maximisée à trois minutes, entre les ordonnées temporelles de nos deux planètes au moment de l’entrée de notre peuple dans le quatrième âge d’UMMO. Contrairement au décalage dû à la courbure spatiale du WAAM, que nous savons calculer précisément, ce décalage supplémentaire ne peut qu’être estimé et non mesuré avec exactitude.

Tweet O6 – 65

Le caractère non-infini des potentialités de WAAM-WAAM se base sur la seule conjecture, vérifiable par tout observateur que ni le zéro mathématique, ni son inverse (infini mathématique) n’existent en absolu dans le cadre physique.

Notre modélisation mathématique de WAAM-WAAM tétra-trièdique nécessite uniquement 12 dimensions pour s’exprimer. Notre modèle physique, fonctionnel, considère uniquement 10 dimensions: le trièdre dimensionnel constituant le « temps » (T) est réduit à une seule dimension axiale autour de laquelle pivotent les 3 autres trièdres.

Dans chacun des 3 autres trièdres chaque dimension se définit angulairement par rapport à l’axe T. Les positions angulaires des dimensions sont séparées par un incrément angulaire minimum, vérifié expérimentalement, d’environ 6.10 -11 radian.

En deçà de cet incrément les vibrations dimensionnelles se confondent en un seul harmonique. Il n’existe donc, en pratique, qu’environ 1011 orientations angulaires distinctes entre une dimension et l’axe T dans l’intervalle de 0 à 2 pi dans chacun des degrés de liberté.

Chaque combinaison des orientations possibles au travers des 9 dimensions libres constitue un WAAM (univers).

Le nombre de WAAM possibles est ainsi limité à un maximum de 10495. Le WAAM-WAAM est donc limité. De même sont limitées les émergences de potentialités au sein de chaque WAAM.

O6-67

Chaque WAAM, notre Univers y compris, à l’exception de 2 univers limites, s’exprime en 10 dimensions qui ne sont pas toutes perceptibles par l’Humain.

Chaque trièdre dimensionnel comporte 3 dimensions. Vous pouvez vous représenter chaque trièdre sous la forme d’une pyramide, à base triangulaire, dont les arêtes sont élastiques et articulées à chaque sommet selon 9 degrés de liberté, l’un des sommets étant par ailleurs articulé autour de l’axe T.

De chacun des 3 trièdres libres, aucune arête ne peut prendre la même orientation qu’une autre quelconque y compris, et en particulier, celle de l’axe T.

Tweet O6 – 122

Q : Si la distance IAGIAAIAOO (Nébuleuse toroïdale) est de 7900 années-lumière, comment recevoir à temps des informations sur le repliement à venir? 


R :  7900 a-l avec un UEWAautomatique.# 2 mois de voyage dans un WAAM de grand écart angulaire 


Q: l’OAWOOLEAIDAA est-il un changement de WAAM?

R: OAWOLEIIDAA : H(qₑ,pₑ,t)⇝ H(qₔ,pₔ,ti)
ti = t ⇒ WAAM⇝ WAAM
ti≠ t ⇒ WAAM⇝ autre WAAM (mi = ±m, ±im)
ti=-t ⇒ WAAM⇝ OUWAAM (mi = -m)

Décodage de la réponse : 

“H” est un opérateur hamiltonien . Les 2 indices (e) de Q et P subissent une double rotation.


Il y a donc 3  » types  » d’OAWOLEIIDAA, comme indiqué dans la NR22… 

« Pour répondre explicitement à vos interrogations, 

[Type 1] nous n’altérons pas le référentiel temporel de nos nefs pour voyager selon les conditions isodynamiques propres à ce WAAM et mesurées pour celui-ci. 

[Type 2] Pour les autres WAAM dans lesquels nous savons nous projeter par inversion de six angles axialement à une autre dimension figée, nous nous contentons d’y répertorier les différentes concentrations de masses accessibles à nos enregistreurs et tentons d’y capter des signaux émis par d’autres formes d’intelligence

[Type 3] Nous nous projetons parfois temporairement dans UWAAM en inversant, par rotation de « pi » radians, tous les angles dimensionnels des sous particules. Nous le parcourons localement pour restreindre la durée de nos voyages lorsque les conditions isodynamiques du WAAM sont défavorables. Tout lien avec UMMO est alors rompu. 

Tweet O6-133

Nous disposons de deux modèles très simples pour évaluer le nombre de civilisations d’EESSEEOEMMIl dans notre voisinage galactique immédiat, quel que soit leur niveau évolutif. Chaque modèle évalue le nombre de civilisations à l’intérieur d’un volume spatial sphérique V centré sur l’une, quelconque, de ces civilisations.

Le modèle IMOO prédit un doublement du nombre de civilisations lorsque triple le volume d’espace, pour un volume unitaire correspondant à une sphère de rayon égal à 16.79 a.l.

Le modèle WOAM prédit un doublement du nombre de civilisations lorsque le volume d’espace est multiplié par π, pour un volume unitaire correspondant à une sphère de rayon égal à 13,36 a.l.

Le modèle IMOO prédit un nombre minimal de civilisations au sein du volume V. Le modèle WOAM prédit un nombre maximal de civilisations au sein du volume V


Tweet OW 3

Q: Y-a-t’il eu un big bang ? Est-ce que le concept de big bang fait sens ? Est-ce que les cosmologistes d’aujourd’hui sont sur la bonne voie ?

R : Vous devez développer son sens à une infinité d’univers. WAAM-WAAM, alors non dissocié, a commencé à se diviser en sous parties distinctes.

Tweet OW- 4

Q : Je ne comprends pas très bien la présentation du modèle mathématique du W-W dans les tweets O6-65 et O6-67.

R : Les trois axes spatiaux sont articulés/liés à l’axe T qui a pour sa part un seul axe de liberté de rotation x 2π.

Tweet OW-5

Q : Comment est calculé le nombre de WAAM de 10^495 cité dans le tweet O6-65 ?

R : (10^11)^9=10^99. 10^99*10^88*10^77*10^66*10^55*10^44*10^33*10^22*10^11 = 10^495 potentialités de WAAM.

Tentative d’explication : Proposition de D.V.

Le facteur 1011 est facile à comprendre. Ils nous disent dans le tweet 65 que le plus petit écart angulaire possible est environ 6.10 -11 radian (ce serait vérifié expérimentalement). D’où en divisant 2\pi par ce plus petit écart angulaire on trouve environ 1011 puisque 2\pi est environ égal 6,3. Ce facteur 1011, c’est donc environ le nombre de rotations élémentaires pour parcourir un tour complet (2\pi), c’est aussi le nombre de choix possibles pour se fixer un angle entre 0 et 2\pi.

Ensuite c’est pour moi nettement moins clair. Disons que vu la façon dont le calcul est présenté, on pense tout de suite à un calcul classique en combinatoire ou probabilité discrète.

On nous dit (tweets 65 et 67) :

– Il n’existe donc, en pratique, qu’environ 1011 orientations angulaires distinctes entre une dimension et l’axe T dans l’intervalle de 0 à 2 pi dans chacun des degrés de liberté

– Chaque combinaison des orientations possibles au travers des 9 dimensions libres constitue un WAAM (univers).

-.. les arêtes [de chaque trièdre] sont élastiques et articulées à chaque sommet selon 9 degrés de liberté, l’un des sommets étant par ailleurs articulé autour de l’axe T »

D’où le premier facteur (1011)9 pour se fixer un angle pour un axe par rapport à l’axe temps T.
Ensuite je pense qu’il faut se dire qu’on vient de fixer un degré de liberté, donc il en reste 8, d’où un facteur (1011)8 = 1088.

Et ainsi de suite, jusqu’à descendre jusqu’à 1 seul degré de liberté de libre, ce qui donne le dernier facteur 1011.


Tweet OW-6 

Q : Combien d’OAWO sont nécessaires pour exprimer chacun des 3 trièdres? 4? et pour le temps? 2 ? => les IU ont 14 OAWO ?

R: Un OAWO générateur référent W pour définir chaque trièdre est nécessaire. (∠(x,W)=α, ∠(y,W)=β, ∠(z,W)=γ )
Et un autre pour T

Conclusion

Les lois morales, le bien et le mal  

Les lois morales sont aussi présentes et nécessaires à l’existence du cosmos que les lois physiques qui déterminent l’attraction des corps et la chimie du carbone.

A la différence des lois physiques, elles ne sont pas de nature déterministe, l’Homme n’est pas obligé de s’y soumettre. L’Homme est libre. Les lois lui sont soumises, de différentes manières et il est libre de les accepter ou non.

Ces lois ne sont pas les mêmes pour tous. Elles sont adaptées au niveau d’évolution de la société à un moment spécifique de l’Histoire d’une société ou d’une civilisation. C’est comme si l’Homme captait seulement les lois qui s’accordent avec son système par un effet de « gabarit d’antenne ».

Ces lois réflexives sont introjectées dans le réseau social humain par deux biais :

– par le biais de la Métaconscience Planétaire qui, nous l’avons vu précédemment, traite l’information que les Hommes vivants lui envoient, la digère, la reformule selon les lois morales cosmiques et la réinjecte dans le réseau social de manière subliminale, afin que l’Homme puisse en prendre connaissance tout en conservant son libre arbitre.

– Par le biais des Hommes-dieu (OEMMIIWOA). De tels Hommes sont nécessaires à la bonne évolution d’un réseau social, afin d’amener véritablement à la conscience de chacun ces lois universelles. Les Oummains disent que c’est encore un problème de physique. Si ces Hommes-dieu n’existaient pas, les sociétés humaines auraient tendance, malgré les messages de la Métaconscience Planétaire, à involuer, à s’autodétruire. L’entropie menacerait. La certitude que tout va bien se passer n’est d’ailleurs pas acquise après que l’Homme-dieu a effectué sa mission. Les civilisations peuvent encore s’autodétruire.

La signification du bien et du mal :

La réponse Oummaine est que le mal existe bel et bien, mais pas sous la forme anthropomorphique qui nous est familière.

Selon les Oummains, le mal absolu est l’anéantissement. Le bien absolu est la conformation totale aux lois morales cosmiques. Le mal est l’entropie, le bien est la néguentropie.

L’entropie est une perte d’information. C’est le désordre qui prend de l’ampleur jusqu’à un vide total de toute substance. Le contraire de l’entropie, la néguentropie, peut être définie comme un gain permanent d’information. Tout le vivant fait partie d’un processus néguentropique, c’est ce qui distingue l’animé de l’inanimé.

L’univers multiple qui se construit répond à un processus néguentropique. Toute conduite entropique freine son évolution, remet en cause sa trajectoire nominale vers ‘’le point oméga’’.

Remarquez que l’Homme étant libre, la Métaconscience Planétaire étant libre de son parcours évolutif, l’Univers multiple étant finalement un grand être doué de liberté, l’anéantissement est toujours possible : l’annihilation totale de la vie sur une planète, dans une galaxie, ou même dans un univers.

Les Oummains attirent aussi notre attention sur l’interdépendance du vivant qui a des conséquences incalculables du point de vue moral.

Un Homme qui fait une faute morale, qui désobéit aux lois cosmiques, non seulement nuit à son entourage, mais perturbe l’ensemble du réseau social terrestre, ainsi que tous les réseaux sociaux extraterrestres en freinant la bonne marche de l’univers multiple vers son épanouissement. C’est pourquoi les Oummains sont très durs vis à vis d’eux-mêmes, et très sévères aussi vis à vis de nos comportements : car nous sommes reliés, nous sommes les nœuds d’un réseau cosmique, et tout ce que fait un individu rejaillit sur tous.

Au sein de l’univers multiple, l’univers des Métaconsciences Planétaires fait figure de patron. C’est le cerveau du pluriunivers et c’est aussi les mains qui façonnent la totalité des univers, par le biais de la masse imaginaire qui influence la structure physique des univers en développement.

Le pluriunivers est un grand être issu de la pensée de Dieu, un grand être libre qui se réalise, qui évolue vers un point de fusion de consciences que nous ne pouvons même pas envisager, et qui se réalise grâce à une boucle de rétroaction de type cybernétique.

Dit simplement, le grand univers auto-capte de l’information sur ce qui se passe en son sein, et corrige et affine les actions qu’il entreprend en fonction des résultats obtenus, et en fonction de son intention, son plan de construction. C’est une boucle de rétroaction essentielle à son évolution, exactement de la même façon que nos yeux regardent ce que nos mains font quand elles donnent naissance à une poterie en argile. Si une déviation est constatée par rapport à l’intention, un processus de correction est entamé. Le physicien et épistémologue Ervin Lazlo, dans sa théorie de la dynamique sub-quantique, a mis en évidence que l’univers a besoin d’un feedback pour évoluer dans la bonne direction ; ce qui implique obligatoirement l’existence d’une physique informative et donc d’une vitesse quasiment infinie pour véhiculer certaines informations.: les Oummains disent exactement la même chose.

Selon les Oummains, le grand univers est informé de ce qui se déroule en son sein par de multiples capteurs. Ce sont les yeux, les oreilles, tous les autres sens et tous les cerveaux des Hommes et des hominiens qui le peuplent.

C’est en effet notre rôle de capter pour le service de l’univers. Le rôle que « nous et notre âme » doivent jouer, au mieux de leurs capacités, est une contribution informative pour l’univers des Métaconscience Planétaire Cette contribution est obligatoire à la réalisation du Grand Œuvre.

Quand nous  » expérimentons  » du jasmin, nous le touchons, nous le sentons, pour notre plaisir pourrait-on croire. Mais le plaisir est un miroir aux alouettes. C’est en fait pour le service de l’univers dans sa globalité que nous percevons, le plaisir n’étant qu’incitatif.

Notre rôle n’est pas seulement passif. Il ne consiste  pas seulement à regarder et à transmettre ce que nous voyons au grand cerveau collectif. Selon les Oummains, nous sommes cocréateurs de l’univers. Nous participons activement, par nos pensées et par nos volontés, à la définition de l’objectif en quelque sorte. L’univers sera ce que nous en ferons.

« WOA (Dieu) engendre le Pluricosmos en une seule fois, dans toutes ses potentialités (quasi infinies).

Les êtres pensants du Pluricosmos  concrétisent une partie des potentialités.

Chaque humanité pensante en tant que partie unique des êtres pensants modifie l’ensemble des réalités potentielles)en interprétant une des possibles réalités.

Chaque humanité pensante réalise sa réalité en modulant la trame des potentialités réalisables. Elle modifie donc l’ensemble des réalités potentielles et informe WOA.

Cette information se transmet et se capte par l’intermédiaire de la Métaconscience Planétaire associée a chaque humanité planétaire

Ainsi le Pluricosmos s’organise au fur et a mesure qu’il est engendré par WOA. Ce processus est à la fois simultané et infini. Le temps n’y prend aucune part n’étant lui-même qu’une interprétation particulière de chaque réalité. »

« L’Homme pense donc je suis », se dit l’univers… Cet aphorisme résume bien la fonction transcendante de l’Homme dans l’univers telle que vue par les Oummains.

Il existerait, simultanément, dans notre seule Galaxie, la « Voie Lactée », plus de 1,2 millions de planètes ayant atteint une évolution « Humanoïde » et plus de 18 millions d’Humanités auraient existé en comptant les Humanités ayant terminé leur cycle d’évolution.

Nous avons de quoi poursuivre nos rêve